50ème anniversaire de l’IMB

50ème anniversaire de la création de l’Institut de la Maison de Bourbon 1973-2023

L’Institut de la Maison de Bourbon (IMB) a été fondé en 1973 à la demande du prince
Jacques-Henri, Duc d’Anjou et de Ségovie, Chef de la Maison de Bourbon, pour défendre
les droits de la branche aînée de la Maison de Bourbon, successeur légitime des rois de
France et faire connaître l’histoire des dynasties qui ont fait la France. Par la suite, l’Institut
a été constamment soutenu et encouragé par son fils, le prince Alphonse de Bourbon, Duc
d’Anjou et de Cadix et depuis 1989 par le prince Louis. Depuis 1997 il est reconnu d’utilité
publique. En 2022 pour son cinquantenaire, l’IMB pour étendre son action a créé une
fondation abritée par la Fondation de France de manière à démultiplier ses moyens,
notamment pour la sauvegarde du patrimoine.

Les objectifs de l’IMB :
– promouvoir la connaissance de la Maison royale qui a régné sur la France et sur une grande partie de l’Europe pendant près de mille ans,
– rappeler comment l’histoire de France a été forgée par la longue suite de souverains, de Clovis à Charles X en passant par Charlemagne, l’avènement d’Hugues Capet, l’œuvre de
reconstruction de Louis VI, Louis VII et Philippe Auguste, la sainteté de Louis IX, la politique
de Philippe le Bel, la sagesse de Charles V, la reconstruction du royaume par Charles VII, le
génie politique de Henri IV et de Louis XIV, le martyre de Louis XVI.

Institut culturel, l’I.M.B. intervient dans des domaines variés ; conférences, colloques,
publications, commémorations, débats, concerts, voyages d’étude, prix d’histoire et prix de
thèse. L’Institut organise ses propres manifestations ou patronne celles d’autres institutions tant publiques que privées.

Établissement reconnu d’utilité publique, l’I.M.B. mène une action en faveur du
patrimoine lié à la tradition et à la monarchie (plaques commémoratives, restauration de
monuments). Il encourage le mécénat artistique (restauration d’objets historiques et culturels,
concerts).

Institut de la Maison de Bourbon
(Organisme reconnu d’utilité publique)
81, Avenue de la Bourdonnais Paris 7ème
01 45 50 20 70 – Site : www.royaute.info
Courriel : contact.royaute@orange.fr

Message de l’IMB :

L’Institut de la Maison de Bourbon fête cette année le cinquantième anniversaire de sa création (1973-2023).
Depuis 1973, vous avez été de ceux qui ont soutenu son action ou participé à son administration ou à ses activités et permis son développement.
A ce titre, le Duc de Bauffremont, Président, ainsi que les membres du Conseil d’Administration sont heureux de vous convier aux cérémonies qui auront lieu à Paris le :
Samedi 13 mai 2023 sous la présidence de Monseigneur le Prince Louis de Bourbon, Duc d’Anjou
Vous trouverez ci-joint, le carton d’invitation ainsi que le coupon-réponse qui est à nous retourner avant le 8 mai prochain pour nous faire part de votre présence.
Vous en souhaitant bonne réception,
Sincères salutations.
Le secrétariat

Programme :
15h30 : Hôtel de Soubise (60, rue des Franc-Bourgeois Paris 3ème),
Visite commentée de l’exposition « Louis XVI, Marie-Antoinette et la
Révolution ; la famille Royale aux Tuileries : 1789-1792 ».
16h30-18h00 : Réception au Club de la Chasse et de la Nature
(62, rue des Archives Paris 3ème) :
Intervention de Monseigneur le Duc d’Anjou
Rafraîchissements
18h30 : Messe du cinquantenaire en l’église Saint-Roch
(296, rue Saint-Honoré Paris 1er)) animée par les Sonneurs du
« Rallye Trompes d’Yauville ».
20h00 – 21h15 : Concert de trompes en l’église Saint-Roch par
« Le Débuché de Paris ».

Un serviteur de la monarchie qui disparaît

17 juin 2020

Il y a des êtres que l’on aimerait voir immortels. Tel est le cas de Jean Raspail qui vient de rejoindre la maison du Père samedi 13 juin 2020. Il incarnait le modèle de la tradition française autant par son œuvre littéraire couronnée du Grand Prix du roman de l’Académie française que par la manière dont il avait mené sa vie avec panache. Pensons à ses explorations et notamment sa belle et courageuse expédition dans l’ancienne Louisiane française quand la France était fière d’apporter la civilisation au-delà des mers, relatée dans En canot sur les chemins du Roi. S’il défendait la tradition française par ses écrits (romans, récits et articles),  il était aussi de tous les bons combats quand Dieu ou la France étaient attaqués. Avec Jean Raspail, il n’y avait pas de transaction si l’honneur du pays était engagé. Autant dire que ces dernières années, avec la trahison de ceux – si  nombreux pour le malheur du Pays-  qui préfèrent le reniement à la grandeur, la soumission au combat, il n’était pas vraiment heureux de ce qu’il voyait autour de lui. La France qui se défaisait n’était pas celle qu’il aimait.  Elle le menait parfois au pessimisme.

Au contraire Jean Raspail se sentait bien avec les héros de toujours, les chevaliers du Moyen-âge, les grands chefs comme Turenne, Condé ou Charette. Et avec les Rois de France à qui il a rendu un vibrant hommage dans son roman Sire et en s’engageant pour les célébrations du bicentenaire de l’assassinat de Louis XVI (1993) qui ont dû beaucoup à sa notoriété et à son énergie. Toujours chantre de la tradition française faite d’honneur, de gloire et d’abnégation.

Mais peut-être fut-il aussi plus encore pour notre famille de pensée, celle du royalisme. En effet  à la fin des années 1980 il a bien connu le Prince Alphonse rencontré lors de plusieurs manifestations. Il a pu en faire notamment un beau portrait : « « Dès que j’ai eu l’honneur et le bonheur de faire la connaissance de Mgr le duc d’Anjou, puis de l’approcher et de m’entretenir longuement avec lui en différentes circonstances, j’ai immédiatement su et compris qu’il existait quelque chose de sacré dans sa personne, toute de lumineuse simplicité.

(…) C’est vrai que le duc d’Anjou [Alphonse] n’avait pas le pouvoir. Mais j’ai la conviction qu’il était dépositaire d’une parcelle de divin. Ce n’est que cela et rien de plus, la légitimité »[1]  

Ses rencontres avec le Prince Alphonse avaient permis à Jean Raspail de comprendre que le royalisme n’était pas mort en France et, après 1989, il aurait aimé tenir pour le jeune Prince Louis, le rôle qui fut, au siècle précédent, celui de Chateaubriand vis-à-vis du Comte de Chambord. La célèbre formule du poète à la Duchesse de Berry « votre fils est mon roi » était de celles qui parlaient à Jean Raspail. Les époques ne se ressemblent pas, et  cet hommage se traduisit notamment dans le roman Sire. Il fut écrit en pensant au Prince Louis qui servit de modèle au Prince Philippe du roman. Le héros jeune et pur reconquérant son royaume à cheval. C’est du moins ce que pensèrent ceux qui, à l’époque, croisèrent l’écrivain et le Prince.

Déçu par le présent mais plein d’espérance pour le futur, Jean Raspail, attendait un renouveau de la France. Renouveau passant par Reims et Saint-Denis les deux pôles de la royauté, fille aînée de l’Eglise… là où tout s’est toujours joué. Le Sacre et la permanence. Mais ces deux villes attendent encore la nouvelle Jeanne d’Arc qui ramènera le roi puisque le roi ne meurt jamais en France et qu’il suffit de le remettre dans la lumière. Dans cette attente, Jean Raspail, s’était mis en embuscade pour pouvoir la rejoindre dès que son étendard paraitrait. Il avait pour cela le royaume de Patagonie dont il avait relevé le drapeau pour la plus grande joie de tous ses amis. Ceux-ci sont nombreux et, de même que pour eux, Antoine de Tounens était devenu un symbole immortel, Jean Raspail, sera l’immortel de notre génération qui a tant besoin de modèles pour les maintenir dans les voies de l’espérance et de l’honneur d’être Français.

Source : www.legitimite.fr

Grande Fête Catholique et Légitimiste 2018

 

Le Samedi 26 Mai 2018 à partir de 11h30

Ecole Saint Jean BOSCO Château de la Ville,

Allée des Platanes 01240 Marlieux

Conférence de Madame Marion SIGAUD

« Le Roi, le Travail, la Révolution. »

VENEZ NOMBREUX APERITIF DANS LE PARC si beau temps

Au choix : Repas tiré du sac ou plateau repas.

Réservation obligatoire avant le 16 Mai 2018

OUVERT à TOUS

Libre Participation pour les frais d’organisation

=> Réservation

TER  POUR ALLER A MARLIEUX

De Perrache   10 H 08  Part Dieu : 10 H 20  arrivée  11 H 09  et retour  Marlieux  16 H 52  OU 17 H 52  arrivée  18 H 39 Part Dieu 18 H 51 Perrache

La gare est à 1 km de l’allée des platanes

=> TER SNCF

=>  Plan d’accès