Votre immense cri de désespoir a marqué la fin de l’année écoulée.
Désespoir de n’être plus entendus, ni écoutés comme si vos souffrances
avaient moins d’importance que les normes et les règlements. Comme si
votre vie quotidienne ne comptait pas ou plus. Comme si des mots
pouvaient suffire à nier les réalités.
Ce cri ne doit pas demeurer vain, mais il ne s’agit pas non plus de
se tromper d’objectif. Certes, si des rattrapages en de nombreux
domaines, et notamment, en matière de niveau de vie sont nécessaires,
ils ne doivent pas être une fin en soi cachant l’essentiel. Les mesures
ne doivent pas être uniquement conjoncturelles et sectorielles.
Ce qui manque à la France depuis des dizaines d’années, c’est un
projet de société partagé par tous. Un projet commun qui soude les uns
et les autres et qui respecte sa souveraineté. Un projet qui réunit et
entraîne sans privilégier certains aux dépens de tous les autres.
L’équilibre social a été progressivement brisé parce que le bien commun a
été oublié au profit des intérêts individuels ou des mirages. Prenons
garde que ce ne soit pas les intérêts et les passions communautaristes
qui les remplacent ! Le mal serait encore plus grand et le cri de la
France serait étouffé. L’histoire rappelle que les Français ont toujours
accepté les sacrifices lorsqu’ils servaient la cause commune. Ils
rejettent au contraire tout ce qui est injuste.
L’histoire, heureusement, comme une bonne fée veillant sur la France,
est là pour nous faire souvenir qu’il n’y a pas à désespérer. Les
situations les plus catastrophiques trouvent toujours un dénouement —
pensons à la Guerre de Cent Ans, aux guerres de Religion, aux revers
militaires qui ont pu faire douter du destin de la fille aînée de
l’Église. Le sursaut vient chaque fois d’un retour aux sources, en
cherchant à retrouver les fondements de ce qui fait notre cher et vieux
pays plus que millénaire.
Le mot « valeurs » a beaucoup été employé ces derniers temps, mais il
ne faut pas le contrefaire. Les valeurs ne se trouvent ni dans
l’éphémère ni dans le contingent, ni dans ce qui porte atteinte à la
nature humaine. Les nôtres puisent au plus profond de notre histoire. Ce
sont d’abord les valeurs de l’héritage gréco-romain. Il a apporté la
citoyenneté, c’est-à-dire le sens de la vie en commun tempéré par le
droit. Cet immense héritage fait accepter les différences des uns et des
autres dès lors que tous se retrouvent sur un projet d’avenir partagé.
Il a nom : Royaume, Couronne, État. Chaque génération l’a adapté. À la nôtre de le faire en s’appuyant sur les familles.
Le second fondement nous vient de la chrétienté qui a forgé l’âme de
l’Europe et de la France. Elle a créé son unité, elle a fondé la
grandeur de sa civilisation en faisant de chaque être humain la mesure
de toute chose. Elle a libéré les esclaves, tempéré les riches,
réconforté les pauvres, les malades et les sans-abris, donné du sens à
l’existence.
Le socle est encore là. Il appartient à chacun de le faire vivre.
Ainsi la société redonnera espoir à ceux qui souffrent. Tel est ce que
je souhaite à tous en ce début d’année et notamment aux familles. Que
saint Louis et sainte Jeanne d’Arc veillent sur la France et apportent
aux Français l’espérance qu’ils méritent et qu’ils attendent. Ainsi
notre pays retrouvera la route de l’avenir.
Compte rendu de la visite de son Altesse Royale le Prince Rémy de BOURBON PARME
Le 19 Janvier 2019 à Lyon
C’est
avec un grand plaisir que nous avons accueilli Son Altesse Royale le Prince
Rémy de BOURBON PARME, venu représenter SAR le Prince Louis, Duc d’Anjou, Chef
de la Maison de France et la Princesse Marie Marguerite, Duchesse d’Anjou lors
de la messe anniversaire des 226 ans de l’exécution du Roi Louis XVI.
Le Prince
Rémy a été reçu à Saint Bonaventure par le Recteur le Père Patrick ROLLIN et
l’Abbé Brice MEISSONNIER. Les trompes de chasse des Echos du Lyonnais ont fait
résonner la nef ou plus de 400 Lyonnais étaient venus pour témoigner de leur attachement
au Roi martyr.
Enfin
le déjeuner a réuni une quarantaine de fidèles autour du Prince. L’Association
Présence du Souvenir Bourbonien tient à remercier ici vivement toutes les
personnes qui se sont déplacées ce Samedi 19 Janvier 2019 ainsi que toutes celles
qui ont contribué de près ou de loin au succès de cette journée.
HOMELIE
Lyon Sanctuaire Saint-Bonaventure 2019
Monseigneur,
Monsieur le Recteur,
Mes bien Chers Frères
Dans l’ancienne France et dans le
système monarchique français, le roi ne mourait jamais.
Certaines choses changeaient dans la
société, mais il y avait toujours une garantie de continuité et d’identité
française : « Le roi est mort, vive le roi ».
Néanmoins, le lundi 21 janvier 1793
à 10h22, pour la première fois en France, le roi mourait.
Assurément, le même jour, à l’heure
du déjeuner, la Reine Marie-Antoinette aura fait une révérence devant son fils
le dauphin, devenu par le fait même Louis XVII, et elle l’aura installé au bout
de la table, à la place d’honneur, à la place du roi !
Malgré cela, quelque chose fut
brisée ce 21 janvier 1793.
Ouvert le 10 décembre précédent, le procès du roi
Louis XVI, s’était déroulé devant la Convention face à laquelle Robespierre
avait déclaré : « Il n’y a point ici de procès à faire. Louis
n’est point un accusé. Vous n’êtes point des juges. Vous n’avez point une sentence
à rendre pour ou contre un homme, mais une mesure de salut public à prendre, un
acte de providence nationale à exercer. »
Oui mes Frères, de l’aveu même de
ses accusateurs et futurs bourreaux, il ne s’agit pas d’un procès, mais d’une
mise à mort programmée : il faut que le roi meure ! Et il va
mourir !
226 années plus tard, quel est le
sens à donner à cet office que nous célébrons aujourd’hui ?
Sommes-nous là simplement afin de
prier pour le repos de l’âme de ce roi très chrétien ? Ce que beaucoup font
avec fidélité depuis tant d’années ?!
Et bien, au risque de vous
surprendre, je vous répondrais : non !
Certes, la conscience de Louis XVI
devait lui reprocher un certain nombre de choses, comme pour tout homme
et comme surtout il l’écrit lui-même dans le texte de consécration de sa
Personne, de sa Famille et de tout son Royaume au Sacré Cœur de Jésus.
Texte qui est du début de l’année 1792 :
« A mes malheurs personnels
et à ceux de ma famille, qui sont affreux, se joignent, pour accabler mon âme,
ceux qui couvrent la face du royaume. Les cris de tous les infortunés, les
gémissements de la religion opprimée retentissent à mes oreilles, et une voix
intérieure m’avertit encore que peut-être votre justice me reproche toutes ces
calamités, parce que, dans les jours de ma puissance, je n’ai pas réprimé la
licence du peuple et l’irréligion, qui en sont les principales sources ; parce
que j’ai fourni moi-même des armes à l’hérésie qui triomphe, en la favorisant
par des lois qui ont doublé ses forces et lui ont donné l’audace de tout oser »
Cependant, mes Frères, l’attitude
héroïque de Louis XVI dans le refus de la Constitution civile du Clergé et
encore plus peut-être, sa mort admirablement édifiante, qui impressionna
grandement la foule immense réunie au pied de l’échafaud place de la Concorde,
firent dire au Pape Pie VI : « Ô jour de triomphe pour Louis XVI, à qui
Dieu a donné et la patience dans les tribulations, et la victoire au milieu de
son supplice ! Nous avons la ferme confiance qu’il a heureusement échangé une
couronne royale toujours fragile, et des lys qui se seraient flétris bientôt,
contre cet autre diadème impérissable que les anges ont tissé de lys immortels. »
Alors oui mes Frères, si nous sommes
réunis avec fidélité, 226 années après la mort de l’infortuné roi Louis
XVI, cela va peut-être vous étonner, mais ce n’est pas uniquement afin de prier
pour le repos de son âme, car nous croyons comme le pape Pie VI, ou en tous cas
nous espérons, qu’il est déjà au ciel. Si nous nous réunissons aujourd’hui,
c’est peut-être davantage pour nous-mêmes : pour notre propre fidélité et
donc notre propre grandeur.
Car, même si nous vivons dans un
monde qui nous échappe, nous aurons à rendre des comptes sur l’évolution
désastreuse de notre société, surtout si nous ne nous sommes jamais
efforcés de nous y opposer.
Mais nous aurons surtout à
rendre compte de tout ce qui dépend de nous et en premier lieu :
notre âme.
Or, dans toute âme vraiment
chrétienne, se trouve enfouie au plus profond, la fidélité.
mes Frères, Dieu nous demande de lui
être fidèles, à Lui et à son Eglise, et cette fidélité surnaturelle est
nécessaire au Salut.
Mais cette grande et nécessaire
fidélité surnaturelle, a une petite sœur qui est la fidélité naturelle à nos
Pères et aux Pères, que furent nos rois, de cette famille qu’on appelle la
France.
Alors mes Frères, si nous avons
parfois un sentiment d’injustice et d’impuissance en voyant le cours des
choses, n’oublions pas que Dieu nous a donné la vie et avec elle ce
privilège magnifique de la liberté. La liberté de nous conduire en homme, la
liberté de garder la tête haute, la liberté d’être fidèle, comme le fut Louis
XVI.
Aujourd’hui, que par
l’intercession des martyrs de la Révolution, notre Patrie renoue avec
Dieu et son Eglise.
Et que, par la miséricorde de Dieu,
l’âme du roi Louis XVI et celles de toutes les victimes de la Révolution
reposent en paix.
Ainsi soit-il
Abbé Brice Meissonnier
DISCOURS du Président Henri BURGAT – 19 Janvier 2019
Monseigneur, Monsieur le Recteur, Monsieur
l’Abbé
Chers Amis,
Je vous remercie d’être venus commémorer le 226° anniversaire de la mort
du Roi Louis XVI. Je vous souhaite en mon nom et au nom du Conseil
d’Administration une bonne et sainte année 2019.
Nous remercions le Prince Rémy de BOURBON PARME venu représenter la famille Royale, puis le Recteur du Sanctuaire Saint Bonaventure le Père Patrick ROLLIN ainsi que l’Abbé Brice MEISSONNIER pour sa belle homélie, et l’équipe pastorale pour leur excellent accueil, puis Monsieur Nicolas DURAND et l’équipage des Echos du Lyonnais ainsi que toutes les personnes qui de près ou de loin ont participé à l’élaboration et au succès de cette journée.
2018 a été une année difficile ou nous voyons éclore le réveil des
français qui s’aperçoivent enfin qu’ils
ont été grugés par le pouvoir en place. Sauront ils revenir à une société plus
juste et basée sur le bien commun? L’inculture est partout présente, l’ordre
naturel a été inversé, les fausses élites dictent leur loi, nous subissons le
déclassement, la perte de repères, le retour à la barbarie des temps de
l’invasion hunnique. Nous allons probablement connaitre des épreuves
importantes, mais nous devons conserver l’espoir, Dieu ne nous abandonnera pas,
Lui seul peut redresser durablement la situation. Nous devons prier l’Archange
Saint Michel protecteur de la France et la Vierge Marie pour nous aider à
traverser l’adversité.
J’espère que notre programme 2019 vous
séduira, nous recevrons des conférenciers de qualité, Notre Grande Fête
Catholique et Légitimiste aura lieu en Mai. Faites la connaitre autour de vous
et venez nombreux.
C’est Louis XVI qui l’a fait : le saviez-vous ?
Louis XVI décida de soulager son peuple en le dispensant du droit de Joyeux avènement, impôt perçu à chaque changement de règne.
Louis XVI, créa le corps des pompiers.
Louis XVI, autorisa l’installation de pompes à feu, pour approvisionner Paris en eau de manière régulière.
Louis XVI, créa un mont-de-piété à Paris pour décourager l’usure et venir en aide aux petites gens.
Louis XVI, abandonna aux équipages de ses vaisseaux le tiers de la valeur des prises qui lui était réservé en temps de guerre.
Louis XVI,
décida d’aider l’abbé de l’Epée dans son œuvre pour l’éducation des
« sourds-muets sans fortune » auquel il enseignait un langage par signes
de son invention. Le Roi lui versa alors une pension de 6000 livres sur
sa propre cassette, contre l’avis de l’archevêché qui soupçonnait cet
homme de jansénisme.
Louis XVI, dota l’école de Valentin HAUY pour les aveugles.
Louis XVI, donna
l’ordre à ses commandants de vaisseaux de ne point inquiéter les
pêcheurs Anglais et obtint la réciproque pour les pêcheurs Français.
Louis XVI,
donna le droit aux femmes mariées et aux mineurs de toucher eux même
leur pensions sans demander l’autorisation de leur mari ou tuteur.
Louis XVI,
ordonna aux hôpitaux militaires de traiter les blessés ennemis « comme
les propres sujets du Roi » 90 ans avant la 1ere convention de Genève !
Louis XVI,
décida d’abolir le servage et la main morte dans le domaine royal et le
droit de suite qui permettait aux seigneurs de faire poursuivre les
serfs ou mainmortables qui quittaient leur domaine.
Louis XVI, ordonna l’abolition de la question préparatoire et préalable (torture)
Louis XVI, accorda le premier, le droit de vote aux femmes dans le cadre de l’élection des députés à l’assemblée des états généraux.
Louis XVI, décida de faire construire à ses frais, des infirmeries « claires et aérées » dans les prisons.
Louis XVI, s’inquiéta
du sort qui était réservé aux prisonniers détenus en préventive de par
leur inculpation, avant le procès. Par ailleurs, il décida de leur
accorder une indemnité ainsi qu’un droit d’annonce dans le cas où leur
innocence serait reconnue lors de leur procès (sujet d’une étonnante
actualité) !
Louis XVI, supprima de très nombreuses charges de la maison de Roi (plus du tiers).
Louis XVI, permit aux femmes d’accéder à toutes les maîtrises.
Louis XVI, finança tous les aménagements, de l’hôtel-Dieu pour que chaque malades ait son propre lit individuel.
Louis XVI, employa le 1er, l’expression « Justice sociale ».
Louis XVI, fonda un hôpital pour les enfants atteints de maladies contagieuses, aujourd’hui nommé : « Hôpital des enfants malades »
Louis XVI, créa le Musé des Sciences et Techniques, futur Centre National des Arts et Métiers.
Louis XVI, fonda l’école des mines.
Louis XVI, finança sur ses propres fonds, les expériences d’aérostation des frères Montgolfier.
Louis XVI, finança également les expériences de Jouffroy pour l’adaptation de la machine à vapeur à la navigation.
Louis XVI, exempta les Juifs du péage corporel et autres droits humiliants.
Louis XVI, accorda sept millions aux victimes du froid excessif en 1784.
Louis XVI, accorda des pensions de retraites, à tous ceux qui exerçaient une profession maritime.
Louis XVI, demanda l’établissement annuel de la balance du commerce.
Louis XVI, créa le droit de propriété des auteurs et compositeurs de musique.
Louis XVI, accorda l’état-civil aux non-catholiques.
Louis XVI, créa l’Ecole de musique et de danse de l’Opéra de Paris et le musée du Louvre.
Louis XVI,
lança une des plus grandes expéditions de découverte de son époque et
choisit Jean-François de la Perouse pour diriger une expédition autour
du monde visant à compléter les découvertes de James Cook dans l’Océan
Pacifique.
Louis XVI, aida l’Amérique à proclamer son indépendance le 4 juillet 1776.
Source : « Louis XVI a la parole » de Paul et Pierrette GIRAULT de COURSAC, éd de l’OEIL
Le président et les membres du Conseil d’Administration de Présence du Souvenir Bourbonien en Lyonnais vous souhaitent une sainte et belle fête de Noël 2018 entourée de tous ceux qui vous sont chers, remplie de paix, d’amour, de partage et d’espérance
Avec tous nos meilleurs vœux pour 2019
Prière pour demander l’avènement du Règne du Sacré-Coeur
Au nom du Sacré-Cœur de Jésus et par l’intercession de Marie Immaculée, très humblement prosternés devant Votre Majesté, ô Dieu Tout-Puissant, nous Vous supplions de bien vouloir envoyer Saint Michel pour qu’il nous secoure dans notre détresse. Daignez Vous souvenir, Seigneur, que dans les circonstances douloureuses de notre histoire, Vous en avez fait l’instrument de vos miséricordes à notre égard. Nous ne saurions l’oublier. C’est pourquoi nous Vous conjurons de conserver à notre patrie, coupable mais si malheureuse, la protection dont Vous l’avez jadis entourée par le ministère de cet Archange vainqueur.
C’est à vous que nous avons recours, ô Marie Immaculée, notre douce Médiatrice, qui êtes la Reine du Ciel et de la terre. Nous vous en supplions très humblement, daignez encore intercéder pour nous. Demandez à Dieu qu’Il envoie Saint Michel et ses Anges pour écarter tous les obstacles qui s’opposent au règne du Sacré-Cœur dans nos âmes, dans nos familles et dans la France entière.
Et vous, ô Saint Michel, prince des milices célestes, venez à nous. Nous vous appelons de tous nos vœux ! Vous êtes l’Ange gardien de l’Eglise et de la France, c’est vous qui avez inspiré et soutenu Jeanne d’Arc dans sa mission libératrice. Venez encore à notre secours et sauvez-nous ! Dieu vous a confié les âmes qui, rachetées par le Sauveur, doivent être admises au bonheur du Ciel. Accomplissez donc sur nous la mission sublime dont le Seigneur vous a chargé. Nous plaçons tous nos intérêts spirituels, nos âmes, nos familles, nos paroisses, la France entière, sous votre puissante protection. Nous en avons la ferme espérance, vous ne laisserez pas mourir le peuple qui vous a été confié !
Combattez avec nous contre l’enfer déchaîné, et par la vertu divine dont vous êtes revêtu, après avoir donné la victoire à l’Eglise ici-bas, conduisez nos âmes à l’éternelle Patrie. Ainsi soit-il.
Alors que se
développe de semaine en semaine sur toute l’étendue du
territoire national, le mouvement de protestation et de
contestation des « Gilets Jaunes », je tiens à exprimer ma
solidarité et ma profonde compassion pour ceux qui
souffrent, dénués de ressources, écrasés de charges,
humiliés et privés d’Espérance, et qui n’ont d’autre moyen
d’expression que de se lever comme un seul homme pour
manifester leur déception, leur angoisse et leur colère. Ces
Français, c’est la majorité silencieuse qui se tait depuis
des décennies et dont certains avaient oublié l’existence.
Aujourd’hui c’est le peuple de France qui se dresse pour
défendre son mode de vie et sa dignité.
Il est essentiel
de l’entendre, essentiel de prendre en compte ses légitimes
aspirations.
Bien sûr, il faut
condamner et bannir le recours à la violence de certains
groupes extrêmes qui cherchent à exploiter ce mouvement
profondément populaire pour déstabiliser l’Etat. Cette
violence coupable et stérile ne peut que favoriser la cause
de ceux qui ne veulent pas entendre le cri de tout un
peuple.
En ce jour de
l’Immaculée Conception, je confie la France à Notre Dame qui
est la vraie Reine de France.
Que Dieu protège
la Fille aînée de Son Eglise, que Dieu vienne en aide aux
Français malheureux, démunis et souffrants. Qu’Il leur rende
l’Espérance et la foi en l’avenir de notre pays qui doit se
relever et renouer avec tout ce qui en a constitué la
grandeur autant que la paix des cœurs et la douceur de
vivre.
Princesse Marguerite : Radieuse en pleine grossesse « agitée », Louis de Bourbon ému
À quelques semaines de la naissance de son quatrième enfant et quarante-huit heures après son 14e anniversaire de mariage, l’épouse du duc d’Anjou a dévoilé ses rondeurs à l’occasion d’une soirée de bienfaisance. Au côté de son mari, complice et enchanté à l’idée de bientôt pouponner à nouveau.
Très discrète depuis l’annonce en juillet dernier de sa grossesse et de la naissance prochaine de leur quatrième enfant par son mari le prince Louis de Bourbon, la princesse Margarita a fait une apparition très remarquée, au soir du 7 novembre 2018. Marraine de la Fondation Querer, qui vient en aide aux enfants atteints de maladies rares (cause chère au coeur de la reine Letizia d’Espagne), elle lui faisait en effet l’honneur de sa présence pour la soirée de gala organisée à Madrid.
Déjà mère de trois enfants, Eugenia, 11 ans, et les jumeaux Luis et Alfonso, 8 ans, qui avaient posé pour l’adorable photo dont leur père s’est servi pour annoncer l’heureux événement à venir, la princesse Margarita, désormais au troisième trimestre, avait visiblement mis un point d’honneur à être présente pour l’association malgré une grossesse « un peu plus agitée que les précédentes« , de son propre aveu, fait auprès des journalistes présents. « Mais tout va très bien« , a-t-elle aussitôt ajouté, radieuse et superbe dans une robe noire avec des détails dorés qui donnaient du relief à ses rondeurs. « Très heureux et ému de nouveau » par la perspective de devenir père une fois de plus à 44 ans, le prince Louis a partagé via son compte Instagram une photo de leur soirée, adressant ses félicitations au staff de la Fondation Querer pour leur travail et dévoilant par la même occasion les formes de sa femme.
Enceinte d’un petit garçon, cette dernière a par ailleurs confié que son époux et elle n’étaient pas d’accord concernant le choix du prénom de l’enfant, comme l’a rapporté le magazine Hola!, mais il leur reste encore quelques semaines pour accorder leurs violons. Et il n’est pas impossible qu’Eugenia, Luis et Alfonso, « super contents » de l’arrivée d’un petit frère, mettent leur grain de sel !
48 heures plus tôt, le duc d’Anjou, prétendant légitimiste au trône de France, adressait – toujours via son réseau social favori – une magnifique déclaration d’amour à la belle Vénézuélienne qui fait battre son coeur depuis toutes ces années, quatorze ans après leur mariage célébré les 5 et 6 novembre 2004 entre Caracas (cérémonie civile) et la République dominicaine (cérémonie religieuse).
« Chère @margaravs,
Mille #félicitations pour ces 14 merveilleuses années que j’ai passées avec toi, au cours desquelles nous avons pu former une belle #famille, avec nos trois #enfants et le prochain à venir, qui me rendent si #heureux.
Je remercie #Dieu de t’avoir mise sur mon #chemin et je souhaite qu’il nous en accorde beaucoup plus, pour continuer à profiter de ce #rêve devenu #réalité.
#Je t’aime« ,
a-t-il écrit avec flamme, accompagnant son message d’un portrait officiel de leur couple.