Quelques photos du Prince Louis de Bourbon, Duc d’Anjou, venu commémorer en famille avec son épouse la Princesse Marguerite et leurs 4 enfants : La Princesse Eugénie, les Jumeaux les Princes Louis et Alphonse et le Prince Henri; les 200 ans de la Chapelle du Souvenir, souhaitée par la Duchesse Angoulême, au Mont des Alouettes, en l’honneur des soldats de la grande guerre et des martyrs de la Vendée
REMERCIEMENTS DU PRINCE
« Quelle joie d’avoir pu passer cette fin d’été en Vendée en famille avant la rentrée des classes et la reprise pour chacun d’entre nous. Il y a exactement deux cents ans, le Roi Louis XVIII, mon aïeul, celui qui, en 1795, dès l’annonce connue de la mort du Roi Louis XVII, avait assumé, contre vents et marées, la permanence de la royauté française, demande à sa nièce, fille du Roi Martyr, de venir en Vendée. J’ai pu revoir cette terre meurtrie de l’Ouest où j’étais déjà venu à plusieurs reprises avec toujours autant d’émotion. La Vendée permet de comprendre la grandeur d’une région qui a su tout donner pour conserver ses valeurs. Merci à vous tous de votre présence et que l’esprit de la Vendée continue à animer les Français pour affronter les combats du futur »
Très belle messe célébrée par le Révérend Père Abbé du Barroux, Dom Louis-Marie de Geyer d’Orth.
MESSAGE DES ORGANISATEURS DU JUBILE DE LA VENDEE ET RETROSPECTIVE
Le Jubilé a été un franc succès ! Plus de 1500 participants, sous un soleil magnifique.
Un grand moment de joie et d’unité autour de nos invités.
Un grand moment de ferveur en union de prières grâce à la très belle messe célébrée par le Révérend Père Abbé du Barroux, en présence de de Mgr. le Duc d’Anjou qui nous a fait l’honneur de venir avec sa famille. Un grand moment de compréhension de notre histoire grâce aux belles allocutions évoquant le sens de cette fête. Un grand moment d’émotion avec la remise des cadeaux à la famille du Prince, symbole de l’attachement de la Vendée et de la France au premier descendant des rois qui ont fait cette France. Et grand moment de fête familiale et populaire avec de nombreuses animations.
Un grand merci à tous ceux qui sont venus passer la journée au Mont des Alouettes, merci à tous les intervenants et exposants,
et enfin merci à tous ceux qui ont travaillé d’arrache-pied depuis des mois pour que ce Jubilé ait lieu.
Entretien exclusif avec Pascal Théry, Secrétaire général du Jubilé de la Vendée :
Bonjour Pascal Théry, Les lecteurs du Salon Beige vous connaissent déjà bien. Pouvez-vous nous présenter le Jubilé de la Vendée, l’événement que vous organisez avec un autre ami du Salon Beige, Grégoire Boucher, au Mont des Alouettes, samedi 2 septembre prochain ?
Pascal Théry : Il y a 200 ans, la duchesse d’Angoulême, Marie-Thérèse de France, fille de Louis XVI, fait une tournée en province. Après plus de 25 ans de bouleversements et de désolations, cette tournée, organisée à la demande de son oncle, Louis XVIII, est un symbole de réconciliation et d’espoir. Le 18 septembre 1823, elle honore plus de 10 000 combattants, vendéens et chouans, et demande la construction d’une chapelle du souvenir. Le Mont des Alouettes, « colline inspirée » de la Vendée, est un lieu d’élévation spirituelle comportant de nombreux symboles des traditions et de la foi. L’association Jubilé de la Vendée, créée pour commémorer cet événement, permet de réunir autour de cet objectif commun de nombreuses personnalités et associations qui gardent pour autant chacune leur spécificité en faisant toutes un travail remarquable.
C’est donc une grande fête d’amitié française à laquelle toutes les familles sont conviées ? Pouvez-vous nous dire comment se déroulera cette journée ?
Pascal Théry : Après deux cérémonies à la chapelle du souvenir en mémoire de la Duchesse d’Angoulême et à la stèle dédiée à son père, le bon roi martyre, nous aurons à 10h une Grand-Messe célébrée par Don Louis-Marie, le révérendissime Père-Abbé de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, puis à 12h des allocutions de différentes personnalités. Pour le déjeuner, des stands de produits régionaux et une buvette permettront de compléter un pique-nique à apporter. L’après-midi seront présentés un spectacle de danse traditionnelle et des chants par le célèbre ensemble Canto. À 18h nous vous proposons un cocktail de gala, Espace Herbauges aux Herbiers, au pied du Mont, et à 20h30 un concert spirituel offert par l’ensemble Lux Amoris dans l’église Saint-Pierre qui se trouve à côté. Une belle journée de mémoire, de prière, mais aussi festive et familiale à ne pas rater ! Vous trouverez toutes les informations sur le site www.jubiledelavendee.fr
Les célèbres Journées Chouannes sont organisées par Chiré ce même week-end en Vendée ; sera-t-il possible de participer aux deux événements ?
Pascal Théry : Nous avions à cœur de recevoir le Prince Louis de Bourbon, aînée de la maison de Bourbon et plus proche parent de Marie-Thérèse de France, et de son père Louis XVI, afin de commémorer avec éclat cet événement. Nous avions proposé d’autres dates mais c’est la seule qui a été possible. Nous vous encourageons donc à venir célébrer cet événement historique en Vendée le samedi, et à profiter du dimanche pour participer aux Journées Chouannes dans le Poitou qui est proche.
« Le déclin du courage est peut-être le trait le plus saillant de l’Ouest aujourd’hui pour un observateur extérieur ». Le monde occidental a perdu son courage civique, à la fois dans son ensemble et singulièrement, dans chaque pays, dans chaque gouvernement. » Paroles prophétiques du géant Alexandre Soljenitsyne, prononcée à Harvard, en 1978, quelques années avant sa venue au Mont des Alouettes, pour commémorer le bicentenaire des martyrs du génocide vendéen… Est-ce ce courage que vous voulez ranimer à l’occasion du Jubilé de la Vendée que vous organisez avec un certain panache le 2 septembre prochain, jour où l’Eglise commémore précisément les martyrs de septembre, au cœur de cette terre de géants et de genêts en fleur ?
Pascal Théry : Vous avez cité le grand Soljenitsyne, prophète qui a bien décrit comment la Révolution française a été la matrice de toutes les pires révolutions dans le monde, notamment la Révolution bolchevique. Pour ranimer un courage je pense qu’il faut d’abord faire mémoire du courage des anciens, ce qui peut nous donner un peu de force. Je citerai le « Roi de la Vendée », François Athanase Charette, qui dans ses derniers jours déclarait à l’officier bleu le conduisant : « Monsieur, rien ne se perd jamais ». Sa famille présente avec nous ce jour-là sera un vivant témoignage de cette mémoire du courage. De cette « mémoire du future », pour rendre hommage au travail de notre infatigable ami Reynald Secher. Il faut en effet savoir se fixer des objectifs élevés, des valeurs qui nous transcendent, seuls capables de susciter un courage futur pouvant comporter de grands sacrifices. La présence des personnalités que la Providence nous permet de réunir samedi prochain nous montre cet idéal de civilisation chrétienne, de la France Fille aînée de l’Église qui, malgré toutes les apparences bien pesantes aujourd’hui, aura certainement bientôt un nouveau rôle à jouer pour défendre cette civilisation. N’en doutons pas. Et puis ne pas oublier le grand message de Sainte Jeanne d’Arc : pour espérer une victoire donnée par Dieu, il nous faut d’abord combattre !
On annonce beaucoup de monde au Mont des Alouettes samedi prochain. Pouvez-vous nous présenter rapidement qui seront les principales personnalités qui seront présentes, et les nombreuses associations et partenaires ?
Pascal Théry : Outre le Prince Louis de Bourbon et Dom Louis-Marie, nous aurons le Duc de Bauffremont, président de l’Institut de la Maison de Bourbon, des représentants du Souvenir Vendéen, de Mémoire du Futur, l’association de Reynald Secher, du Cercle Charrette, présidé par Yannick de Charette, du cercle Jean-Pierre Calloc’h du Morbihan, du cercle Chateaubriand, de l’ARLV, association royaliste légitimiste de Vendée, de l’UCLF, union des cercles légitimistes de France…
Nous aurons aussi notre cher et fidèle ami le père Argouarc’h, de la Sainte Croix de Riaumont, des écrivains, ainsi que des responsables politiques du département et des membres du clergé du diocèse qui ont été largement invités.
Un dernier mot pour les lecteurs du Salon Beige avant de les retrouver au Mont des Alouettes ?
Pascal Théry : Saint-Exupéry écrivait :
« Il n’y a qu’un problème, un seul de par le monde. Rendre aux hommes une signification spirituelle, des inquiétudes spirituelles, faire pleuvoir sur eux quelque chose qui ressemble à un chant grégorien ».
Nous aurons la grande joie d’entendre ce chant grégorien lors de la Sainte-Messe du moine bénédictin. L’écrivain ajoutait :
« Quiconque porte dans le cœur une cathédrale à bâtir, est déjà vainqueur ».
Ce jour-là, le Mont des Alouettes sera notre cathédrale !
Le samedi 2 septembre prochain, un « Jubilé de la Vendée » sera célébré au Mont des Alouettes en présence de nombreuses personnalités. Au matin, Dom Louis-Marie de Geyer d’Orth, père abbé du Barroux, y célèbrera la grand-messe du jubilé. La journée se terminera en l’église Saint-Pierre des Herbiers, par un concert spirituel en hommage à Notre-Dame de France, donnée par le chœur liturgique Lux Amoris.
Le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, y sera présent en ses qualités de descendant de la duchesse d’Angoulême et de chef de la Maison de France. Il témoigne à cette occasion :
« Je suis particulièrement heureux de venir rendre visite à la Vendée et aux Vendéens le 2 septembre prochain, au Mont des Alouettes, ce haut lieu des guerres de Vendée, mémoire de ce combat inégal mené pour Dieu, pour le Roi et pour les libertés fondamentales.
Ce faisant, je ne fais qu’accomplir un devoir, celui de la Fidélité : – fidélité à la mémoire des Vendéens de toutes conditions, qui ont tout sacrifié pour leur Foi catholique, leur attachement à la royauté très chrétienne et à ma famille ; – fidélité au souvenir, et à l’exemple, de ma grand-tante Marie-Thérèse de France, duchesse d’Angoulême, l’orpheline du Temple, la « sainte fille de Louis XVI », accueillie au Mont des Alouettes il y a 200 ans, le 18 septembre 1823, par quinze mille vétérans vendéens qu’elle tenait à remercier de s’être battu pour son frère, le petit Roi Martyr, Louis XVII, dont le nom ornait tant d’emblèmes de l’insurrection vendéenne. C’est elle qui avait voulu que soit édifiée en ce lieu une chapelle ; – fidélité également au souvenir de la duchesse de Berry, mère d’Henri V, comte de Chambord, qui en 1832, vint en cet endroit dans l’espoir de soulever une nouvelle fois la Vendée contre le pouvoir illégitime installé à Paris.
Mais, en ces temps troublés, ma présence sur cette terre de Vendée autrefois si éprouvée, se veut aussi un message de Foi et d’Espérance, pour tous les Français fidèles à leur Patrie, à leurs racines et à leurs valeurs héritées des civilisations grecque, romaine et chrétienne !
Forts d’un passé héroïque, regardons avec lucidité, courage et détermination notre avenir qu’il nous appartient de construire.
Vive la Vendée catholique et royale, vive la France fidèle aux promesses de son Baptême ! »
Conférence le samedi 06 mai 2023 à 14h15 à Basilique Saint Bonaventure dans la salle Sainte Claire (1er étage de l’Église à gauche en entrant porte de gauche).
Nous recevrons Monsieur Philip de LABORIE qui nous parlera « des costumes militaires de l’armée Française de Louis XIII à nos jours« .
Par ailleurs une messe sera célébrée à l’Église Saint Georges, le mercredi 10 mai à 09H00 pour la canonisation de Mme Élisabeth sœur du roi Louis XVI.
Tribune vaincre ou mourir, comme une lueur d’espérance
La Vendée à l’honneur
(Tribune libre du 13 février 2023 – CAUSEUR)
Dans une période où les sujets graves abondent ne faut-il pas voir comme un heureux signe qu’un film – un simple film- fasse l’actualité. Je veux parler de Vaincre ou mourir.
Il est rare qu’un film suscite un tel débat. Tel est pourtant le cas de celui réalisé et produit par Le Puy du Fou. Mais, à mon sens, voilà qui n’est pas le fruit du hasard ou de la chance. Ce film arrive au bon moment et est le signe de quelque chose qui le dépasse infiniment. Vaincre ou mourir est un triple symbole.
Symbole d’une France fière de son histoire qui de siècle en siècle a été écrite par des héros qui sont autant de modèles. Héros que l’on admire car ils ont su tout donner animés par l’honneur, la fidélité, le respect de la parole donnée, le courage physique et mental. Charette comme les autres combattants de la cause vendéenne était de ceux-là. A peine mort, il est entré dans la légende et deux cent trente ans après les évènements il est toujours un exemple. Il est de la race des héros dont on aime faire des films que l’on revoie, de ceux que l’on retrouve dans la Cité de l’Histoire créée il y a peu à La Défense. Ce film est la réponse à toutes les tentatives de gommer notre histoire de France. La France au contraire la revendique d’où le succès du film alors même qu’il est en dehors des grands circuits habituels et « dérange » une partie des critiques. L’enthousiasme du public en dit plus que les critiques idéologiques.
Ce film est aussi le symbole d’une province qui depuis le génocide ordonné pour l’exterminer a toujours souhaité marquer son identité. Être fier d’être vendéen. En être fier car cette fierté a été payée par plus de 400 000 morts. A l’heure ou certains voudraient voir disparaitre les identités nationales, la Vendée revendique aussi une identité locale. Ce film rappelle qu’il y a des différences notables d’une région à l’autre. Les Vendéens sont uniques et ont payé cette identité de leur sang versé. L’épopée commencée en 1793 est celle de tout un peuple qui a réagi. Cette volonté très forte anime toujours la Vendée qui demeure en France une des régions les plus dynamiques, au taux de chômage inférieur à la moyenne nationale, à la croissance économique supérieure. Ce film a donc trouvé dans les bocages de l’ouest le terreau qui lui fallait et il en incarne le dynamisme. Mémoire et futur y sont intimement liés.
J’en viens à mon troisième point. Ce film me parait être aussi à l’image d’une nouvelle génération qui se lève et qui reprend son destin en mains. Exactement comme il y a 40 ans il fallait redécouvrir une forme de la culture populaire ce qui fut réalisé par la création, le succès et la croissance du Puy du Fou, il convient désormais de réinvestir tous les pans de la société. Régulièrement remontent vers moi les initiatives de jeunes entrepreneurs qui s’engagent dans les domaines économiques, culturels, de la santé, de l’éducation, demain politiques. Toujours avec succès car ils sont animés du souci du bien commun. Ce film est à cette aune. Il marque un renouveau. Qui aurait pu penser qu’un secteur aussi encadré que celui de la création cinématographique pouvait être bousculé par des initiatives individuelles animées par une intense volonté de faire bien et mieux ? Cette victoire de la volonté est à féliciter.
Vaincre et mourir apparaît bel et bien comme le film d’une espérance retrouvée d’une nouvelle France qui compte gagner et reprendre sa place, dans tous les domaines, dans la vie sociale et dans le concert des nations.
Louis, Duc d’Anjou
ARTICLE DU MAGAZINE « LYON PEOPLE » du 11/02/2023
Pourquoi « Vaincre ou mourir » sera le film incontournable de vos vacances
Texte : Marco Polisson – Je ne remercierai jamais assez Libération d’avoir consacré sa une racoleuse et son entreprise de démolition bien-pensante au film « Vaincre ou mourir ».
La lecture du journal préféré de Grégory Doucet (également grand fan de « La politique pour les nuls ») m’a immédiatement convaincu de me rendre à la cité internationale pour le visionner en famille. En le laminant, le quotidien socialo-écologiste a offert une publicité inespérée à ce film de capes et d’épées, tourné avec un petit budget sous la direction de Vincent Mottez.
Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, son alter ego Le Monde y est également allé de sa critique politiquement correcte. Résultat de ce double effet Kiss Cool, plus de 200 000 personnes ont déjà vibré aux aventures de Monsieur de Charrette, iconique et historique défenseur de la Vendée pendant la Révolution dans ce film produit par Nicolas de Villiers.
Photo Thibault Grabherr
« Il est bon de voir un film sur la période 1793-1796, de l’autre côté. On s’est trop souvent laissés formater par La Révolution française de 1789 et abreuver par les grandes idées reçues sur l’égalité, la liberté, le peuple, les pauvres contre les riches, la méchante, très méchante noblesse, l’invincible République et le triomphe de la démocratie sur la tyrannie, le tout résumé en une espèce d’histoire pour françaouis moyens à la sauce Jack Lang. » analyse Nicolas Kinosky sur le site de La Nef.
Le Puy du Fou au cinéma
Que les internautes du site « Allo Ciné » lui aient décerné la note de 4/5 n’a rien d’étonnant. Le film est une réplique sur grand écran du spectacle du Puy du Fou, créé par Philippe de Villiers, qui attire chaque année, depuis 1977, plus de 2 millions de spectateurs. Pendant 1h40, on est plongé dans le combat épique des Vendéens, victimes du génocide révolutionnaire.
Côté distribution, on retrouve Hugo Becker dans le rôle du personnage principal reconnaissable à son panache blanc, entouré de ses égéries les talentueuses (et ravissantes) Constance Gay et Dorcas Coppin. Parmi les fidèles compagnons du général rebelle, le visage émacié du comédien Francis Renaud, tout aussi convainquant que dans « Les Lyonnais » et « 36 quai des orfèvres ».
Face à eux, les bleus de la Convention (et sa répression) sont notamment incarnés par le comédien de séries Grégory Fitoussi (dans le rôle du général Jean-Pierre Travot) et Jean-Hugues Anglade qui incarne l’impitoyable figure du député Albert Ruelle. Glaçants.
SYNOPSIS ALLO CINE
1793. Voilà trois ans que Charette, ancien officier de la Marine Royale, s’est retiré́ chez lui en Vendée. Dans le pays, la colère des paysans gronde : ils font appel au jeune retraité pour prendre le commandement de la rébellion. En quelques mois, le marin désœuvré devient un chef charismatique et un fin stratège, entraînant à sa suite paysans, déserteurs, femmes, vieillards et enfants, dont il fait une armée redoutable car insaisissable. Le combat pour la liberté ne fait que commencer…
ECOUTER A PARTIR DE 17 mn Chronique de Monsieur François Billot de Lochner qui parle de Monsieur Reynald SECHER
CHIRE DPF
Chers amis,
Ces dernières semaines, nous avons tous été témoins d’un déferlement médiatique qui a mis en lumière une période tragique de notre histoire : la guerre de Vendée. L’élément déclencheur ? Le film Vaincre ou mourir, coproduit par le Puy du Fou et Canal+.
Une énergie soudaine a surgi des entrailles de la presse subventionnée ; ses journalistes, saisis de frénésie, ont sorti la grosse Bertha et fait feu :
« Après le parc, le film… Le Puy du Fourbe réécrit l’histoire de la Révolution française. » (La une de Libération.)
« À la vue de Vaincre ou mourir, on espérerait presque que l’enfer existe réellement pour y voir ses responsables prosélytes et réactionnaires y brûler avec délectation. » (Id.)
« Scène de conscription sur la place du village : “On n’en veut pas de votre liberté, rendez-nous nos bons prêtres !” Et ils sont où, d’ailleurs, les bons prêtres ? Emprisonnés pour pédophilie ? » (Un comble pour un journal qui fit en son temps l’apologie de la pédophilie !) (Id.)
« Si les guerres de Vendée m’étaient contées avec des lunettes de chouan et de gros sabots… À fuir au galop ! » (Télérama, le 24 janvier.)
« Le pitre des faux du Puy du Fou. » (Médiapart.)
De la part de pareils sycophantes, de tels excès d’indignité confinent, comme aurait dit le poète, à l’excès d’honneur. Le public ne s’y trompe pas, semble-t-il, puisqu’on compte à l’heure actuelle plus de 200 000 entrées.
Quel est le crime commis par les auteurs et producteurs de Vaincre ou mourir ? Ils font découvrir au grand public l’histoire occultée des guerres de Vendée. Une histoire occultée par plus de 200 ans de « roman national » républicain. Une histoire transmise patiemment par les témoins et leurs descendants, par les historiens locaux, par les associations luttant contre le mémoricide perpétré par les héritiers politiques et intellectuels des « grands ancêtres » républicains, auteurs du génocide de la Vendée.
Ce film ouvre une large brèche dans le mur du silence. Puisse le public s’approprier cette histoire, celle des héros et des martyrs de la Grande Armée catholique et royale, et comprendre que tous nos maux, y compris nos maux les plus immédiats, proviennent de la très peu glorieuse Révolution.
François-Xavier d’Hautefeuille
À cet effet, notre équipe a sélectionné quelques ouvrages indispensables sur ce sujet :