



FETE DE SAINT LOUIS DANS LE BERRY 25 et 26 Août 2025
Message de l’INSTITUT DE LA MAISON DE BOURBON
Chers adhérents et sympathisants,Chers amis,
Avec un peu de retard, nous avons le plaisir de vous faire parvenir ci-joint le programme de la prochaine fête de Saint Louis qui se déroulera cette année dans le Berry les :
Lundi 25 août & mardi 26 août 2025
- La première journée se déroulera à la Chapelle-d’Angillon chez le comte Jean d’Ognyqui nous fera une visite guidée de son domaine. Après le déjeuner, départ en covoiturage pour la visite du château de la Verrerie chez le comte de Voguë puis retour pour la messe en l’honneur de Saint Louis qui sera célébrée par Monsieur l’Abbé Hachard. Dîner.
- Le second jour, nous visiterons la cathédrale de Bourges ainsi que le château de Maupas à Morogues (covoiturage).
- Le prix comprend : Les trois repas et les visites.
Seuls restent à votre charge : le voyage A/R Bourges ainsi que l’hébergement.
–> Plusieurs possibilité pour l’hébergement, soit à Bourges ou autour de la Chapelle-d’Angillon pour ceux qui possèdent une voiture (voir liste des hôtels ou maisons d’hôtes). Les visites se feront cette année en covoiturage.
Si vous désirez vous inscrire à cette fête de Saint Louis, nous vous invitons à consulter le programme ci-joint et de nous retourner le coupon-réponse accompagné de votre règlement. Si vous réglez par virement, merci de nous envoyer votre coupon-réponse.
–> Date limite des inscriptions : 20 août 2025- Pas de règlements sur place –
Dans l’attente de se retrouver, nous vous souhaitons de belles vacances.
Amicalement.
Le secrétariat 01 45 50 20 70
Pour le programme complet cliquer sur ce lien , et dans le menu sur : AGENDA puis programme www.royaute.info




ENTRETIEN DU DUC D’ANJOU SUR LE SITE REINFORMATION.TV


POUR ECOUTER LA VIDEO : CLIQUER CI-DESSOUS
Un successeur légitime au trône de France ? Entretien exclusif



Louis XX : « La légalisation de l’euthanasie représente le dernier clou dans le cercueil de la civilisation européenne »
Dans une tribune publiée dans le JDD, le Duc d’Anjou, chef de la Maison de Bourbon et héritier du trône de France, considère le texte voté à l’Assemblée comme l’abdication de notre société tout entière face à la vulnérabilité, la souffrance et la faiblesse :
« Au milieu de la fièvre qui agite le personnel politique à propos du projet de loi relatif à la fin de vie, je veux, une fois encore, faire entendre à la France la voix de la tradition politique et de la morale millénaire sur laquelle elle se repose. Cette tradition, je l’assume tout entière en tant que chef de la Maison de Bourbon. Et il m’appartient de veiller à ce qu’elle ne soit pas un reste anecdotique de notre passé, mais bien un guide qui éclaire et conduise nos actes.
Ce qui se prépare au Parlement constitue une nouvelle rupture anthropologique que je condamne fermement. Je la condamne car à terme, elle nuit à la France et aux Français. En janvier 2024, j’avais déjà exprimé toutes les craintes et les réserves que j’avais à l’égard du texte qui était en préparation.
Malheureusement, la réalité a dépassé ce que j’imaginais, comme tous les hommes de bien. Les amendements adoptés dans le cadre de la loi signent l’acte d’abdication de notre société toute entière face à la vulnérabilité, la souffrance et la faiblesse. Le dernier clou dans le cercueil de la civilisation européenne, bâtie sur les lumières du christianisme et de l’humanisme, s’apprête à être planté dans une certaine indifférence médiatique et politique.
Les décideurs politiques ont une lourde responsabilité face à l’humanité tout entière. Et ce n’est pas en maquillant ce suicide assisté qu’ils s’apprêtent à voter sous le masque d’une pseudo-fraternité qu’ils échapperont au tribunal de l’Histoire et de leur conscience. Je voudrais le leur rappeler, afin qu’ils se rendent compte de la gravité de l’acte qu’ils s’apprêtent à poser.
Dans un pays marqué par des progrès sociaux importants, par un système de soin extrêmement développé, il est désolant de constater que la lâcheté va être choisie plutôt que le courage, la rentabilité plutôt que le sacrifice. Car ne doutons pas que des logiques comptables abjectes sont à l’œuvre parmi les motivations sous-jacentes. Les personnes les plus fragiles seront priées de comprendre qu’elles sont de trop, qu’elles pèsent un poids trop lourd pour notre économie.
Peu à peu, un certain modèle hygiéniste de société nous est donc proposé dans lequel la faiblesse, l’inattendu, et l’imperfection ne seront plus tolérés. C’est la Vie et la nature tout entière qui seront rejetées. Et là aussi, nous le savons bien, sous couvert d’humanisme et de liberté, cette loi va encore aggraver les inégalités. Alors que les personnes aisées pourront avoir la chance de parvenir aux unités de soins palliatifs, les plus pauvres eux, n’auront que la mort comme alternative à leur souffrance. Un contraste frappant pour la République française qui se veut être la championne de l’égalité.
Les mots ont été vidés de leur sens pour en faciliter l’usage, les valeurs morales ont été évacuées pour faciliter les décisions, les restes de notre civilisation judéo-chrétienne ont été dispersés pour faciliter l’avènement de l’individu-roi. Nous ne raisonnons plus en tant que société, mais en somme d’individus, avec chacun leurs désirs, leurs angoisses, leurs problèmes. Et que le plus fort gagne ! Voilà le nouveau credo de notre société hyper-consumériste.
L’héritage monarchique que je porte voudrait convaincre mes compatriotes que d’autres voies sont possibles. Qu’il reste tant à faire pour développer les soins palliatifs, qu’il nous reste tant à apprendre de ces gens qui souffrent, qui ne veulent pas mourir mais auxquels nous ne donnons pas la parole et dont nous refusons d’entendre le témoignage. Cette loi n’est pas qu’une affaire d’individus. Elle est l’affaire de la société française dans toutes ses composantes pour aujourd’hui et pour demain.
Que voulons-nous pour notre pays ? Pour notre génération et les suivantes ? Et si ceux à qui je m’adresse ne veulent raisonner que de manière égoïste, je veux leur rappeler qu’ils sont les souffrants, les handicapés et les personnes âgées de demain. Peut-être constateront-ils alors que l’appel de la Vie, même dans ces instants les plus vulnérables, reste immense.
Enfin, je veux également avoir une parole pour les soignants que l’on feint trop d’ignorer et qui ne sont pas entendus. Eux qui sont totalement dévoués au service des malades et des souffrants, eux qui exercent leur profession avec passion et humanité, eux qui côtoient la vie et la mort chaque jour qui passe. Ne renoncez pas à votre déontologie : elle est votre honneur. Elle est le rempart à la fois mince mais grandiose qui sépare notre civilisation d’une pente glissante, où la vie risquerait de perdre peu à peu sa valeur, et où la compassion se confondrait avec l’abandon.
Ce rempart, c’est le refus de considérer la vie humaine comme une simple variable d’ajustement, comme un fardeau à soulager par l’effacement. C’est le choix de soigner plutôt que de céder, d’accompagner plutôt que de précipiter. Vous portez, dans l’ombre parfois, une part immense de ce qui fait la dignité de notre société. Soyez fermes dans ce qui fait votre intégrité et votre honneur : les Français vous soutiennent.
J’en appelle aux médecins, aux philosophes, aux croyants et à tous leurs pasteurs, aux responsables associatifs, et à tous ceux qui savent ce que valent la souffrance, le soin et la fragilité. Refusez ce basculement. Et plus largement, ça n’est pas à chaque Français que je m’adresse, mais bien à la France même. Faisons le choix ne pas peser la valeur des vies humaines, de ne pas s’ouvrir à un système de mort et surtout de ne pas acter la fin de notre antique civilisation. En effet, c’est bien elle qui sera la première victime de cette loi. Puisse saint Louis éclairer nos dirigeants et nos décideurs politiques. »
Louis, Duc d’Anjou
Source : https://lesalonbeige.fr



Le dimanche 1 juin 2025 le Prince Louis de Bourbon Duc d’Anjou sera à SAINTE-ANNE-D’AURAY pour fêter les 400 ans des apparitions de Sainte Anne
Lien ci-dessous pour le programme, avec une messe à 11 heures
En 2025, le Sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray et le Diocèse de Vannes fêtent les 400 ans des apparitions de sainte Anne à Yvon Nicolazic et de la découverte de la statue dans le champ du Bocenno. Commémoration par un jubilé du 7 mars au 26 juillet 2025.
Suite à la découverte de la statue en 1625, des pèlerins de toute la Bretagne étaient venus rendre hommage à la grand-mère de Jésus.
En 1628, Anne d’Autriche demande des prières afin de donner naissance à un héritier pour la France. Louis Dieudonné, futur Louis XIV, nait le 5 septembre 1638. En remerciement, Louis XIII et Anne d’Autriche offrent au sanctuaire breton une relique de sainte Anne, conservée alors à Apt. Une parcelle de cette relique a été déposée dans la pierre d’autel consacrée le 7 mars 2025.
Le dimanche 1er juin 2025, le sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray accueillera le descendant de Louis XIII et Anne d’Autriche, Louis de Bourbon, duc d’Anjou, pour une messe présidée par Mgr Raymond Centène, évêque de Vannes.
Messe à 11 Heures (rendez-vous à la Scala Sancta, Porte jubilaire)
Source : Pèlerinage du duc d’Anjou – Sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray
Basilique Sainte-Anne – 9 rue de Vannes – 56400 Sainte-Anne-d’Auray – tél : 02 97 57 68 80
Le 25 et 26 juillet 2025 SANCTUAIRE DE SAINTE-ANNE d’AURAY

Le Cardinal Sarah célèbrera la procession et la messe du Samedi 26 juillet à Sainte-Anne-d’Auray
Léon XIV a nommé samedi 24 mai le cardinal Robert Sarah, préfet émérite du dicastère pour le Culte divin et la Discipline des sacrements, son envoyé spécial au sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray, en France, pour y présider les célébrations liturgiques à l’occasion du 400e anniversaire des apparitions de sainte Anne au paysan breton Yvon Nicolazic.
Vatican News
Le grand pardon de Sainte-Anne-d’Auray, dans le diocèse de Vannes, dans le nord-ouest de la France, va accueillir en cette année jubilaire à double titre un hôte particulier. À l’occasion des quatre cents ans des apparitions de la mère de la Vierge, sainte Anne, à un paysan breton de la contrée, Yvon Nicolazic, le Pape Léon XIV se fera en effet représenter par le cardinal Robert Sarah qui sera en Bretagne les 25 et 26 juillet. Il y célébrera notamment la procession et la messe pontificale le samedi 26 juilllet à 10h30.
Cette venue du cardinal Sarah coïncidera aussi avec le festival Sainte-Anne consacré aux 16-30 ans. En cette année jubilaire pour l’Église universelle, le sanctuaire sera le point de départ de jeunes qui se rendront à Rome pour leur jubilé. Ils rejoindront les centaines de milliers d’autres jeunes du monde entier qui se retrouveront autour du Saint-Père.
Apparitions au XVIIe siècle
Le sanctuaire breton a été construit sur les lieux même des apparitions de sainte Anne à un paysan, Yvon Nicolazic. La première fois que cet homme vit la grand-mère du Christ, ce fut en 1623. En août de cette année-là, elle apparut un flambeau à la main, à la fontaine du petit village de Keranna en Pluneret. Suivirent plusieurs apparitions jusqu’en 1625. Lors de l’une d’elle, sainte Anne dit: «Me zo Anna Mam Mari». «Yves Nicolazic, ne craignez rien; Je suis Anne, mère de Marie. Dites à votre recteur que, dans la pièce appelée le Bocenno, on a construit autrefois, même avant qu’il y eut un village, une chapelle dédiée en mon nom. C’était la première de tout le pays. Il y a 924 ans et 6 mois qu’elle est ruinée. Je désire qu’elle soit rebâtie au plus tôt, et que vous en preniez soin, parce que Dieu veut que j’y sois honorée, Dieu veut que vous y veniez en procession…».
Visites du futur Jean XXIII et du Pape Jean-Paul II
Le 7 mars 1625, l’antique statue de sainte Anne est retrouvée dans le Bocenno, dans les ruines de la vieille chapelle du VIIe siècle. Une nouvelle chapelle est construite et bénie en 1628. Le site connaitra un nouveau souffle au XIXe siècle, l’empereur Napoléon III se rendant en pèlerinage avec l’impératrice Eugénie le 15 août 1858. En 1866, la première pierre de la basilique actuelle est posée et l’édifice est consacré en 1877. En 1949, le nonce apostolique en France, Mgr Roncalli, futur Jean XXIII, y préside les fêtes dédiées à sainte Anne. En 1996, c’est Jean-Paul II qui visite le sanctuaire du Morbihan lors d’un de ses voyages apostoliques en France. Le sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray va donc connaitre un autre grand moment, son jubilé s’inscrivant dans celui du Jubilé de l’espérance, renouvelant le message que sainte Anne transmit: «Dieu veut que je sois honorée ici».
Le cardinal Sarah envoyé spécial du Pape à Sainte-Anne-d’Auray – Vatican News


