Message du Prince Louis de Bourbon

Discours du duc d’Anjou à l’occasion de la fête de Pâques 2020

« Chers compatriotes,  Chers Français,

Rappelons-nous : Pâques 2019 et la France pétrifiée par l’incendie qui venait de ravager la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Pâques 2020, une épreuve d’une toute autre nature dans un domaine où l’on ne l’attendait pas, atteint la France qui, avec l’Italie et l’Espagne, se partage le record des décès en Europe. Tous les continents sont frappés. Une mondialisation du risque !

Hier c’était l’âme du pays qui était touchée, et aujourd’hui ce sont les hommes et les femmes ; les enfants et les vieillards. Selon les mots forts prononcés par le Saint-Père dans son homélie du 27 mars, « nous avons été pris au dépourvu par une tempête inattendue et furieuse ». Devant le danger saurons-nous réagir et à l’ombre de cette cruelle épreuve, refonder nos actions sur plus de bon sens et redonner du sens à nos vies ?

Réagir, au-delà de la compassion que l’on a vis-à-vis des milliers de victimes et de leurs familles affrontant la mort souvent en grande solitude et sans secours spirituel ; au-delà de l’admiration vis-à-vis des soignants aux moyens parfois si dérisoires et de tous ceux qui se dévouent souvent en prenant des risques pour que le pays continue à vivre ; au-delà des encouragements adressés à ceux qui, confinés, doivent assumer une vie familiale bouleversée et exercer leurs activités dans des conditions précaires ; au-delà de l’angoisse face aux situations désespérées que nombre d’artisans, de commerçants, d’entrepreneurs auront à affronter après le brusque arrêt de la vie économique.

Les Français courageux et fidèles à l’image de l’idée qu’ils ont de leur pays –celui du baptême de Clovis, celui de la justice de Saint-Louis, celui des quinze siècles de gloire et d’honneur-, doivent faire front animés d’une énergie à toute épreuve. Ils doivent résister pour sauver leur pays, retrouver l’esprit de Bouvines. Si l’oriflamme de saint Denis n’est plus élevée pour précéder les combattants, son esprit doit être là. Vivant.

L’actuelle situation dramatique doit ouvrir sur une période de sursaut qui soignera après les corps, les âmes et l’esprit public. En effet, au-delà de la crise sanitaire n’est-ce pas toute notre société qui est malade depuis des années et qui a besoin de se retrouver à travers un grand dessein partagé par tous et des valeurs essentielles.

En France, déjà, plus de vingt-cinq évêques ont placé leur diocèse sous la protection divine par l’intercession du Sacré-Cœur, de la Vierge Marie, de Saint-Joseph ou encore de saints locaux ayant déjà été invoqués lors d‘épidémies plus anciennes. Je me plais à songer au poids qu’aurait une consécration solennelle de la France effectuée par l’ensemble de son épiscopat à laquelle s’associerait le maximum de fidèles. Pâques, la fête de la résurrection, pourrait en être l’occasion. En tant que successeur légitime des rois de France qui ont toujours compris leur fonction dans sa double dimension terrestre et divine, ce serait de mon devoir de m’y associer et je le ferais en mon âme et conscience.

Demandons, en cette fête de la Résurrection, le secours de Saint Louis, de Sainte Geneviève et de Sainte Jeanne d’Arc et leur protection sur la France. »

Louis de Bourbon

Duc d’Anjou

Un président ou un Roi

MONARCHIE OU REPUBLIQUE

Les historiens attribuent la date de la création du Royaume de FRANCE, au baptême  de Clovis en 496.

Le roi des Francs Clovis a ainsi scellé l’alliance des Royaumes francs avec l’Eglise catholique lors de son  baptême à Reims.  Alliance qui va se perpétuer par le sacre des rois à Reims, jusqu’en 1824, et qui en fait des monarques de droit divin.

Le titre de Royaume de FRANCE entrera en vigueur officiellement à partir de Philippe Auguste qui est le premier roi à faire porter sur ses actes officiellement à partir de 1204, Rex Franciæ, « roi de France », au lieu de Rex Francorum, « roi des Francs ».

Charles X ayant abdiqué en Juillet 1830, on peut dire que le système monarchique a duré  plus de 1359 ans, soit durant la plus grande durée de son histoire.  Du Vème siècle au XIXème siècle  se fut environ 80 souverains qui  portèrent le titre royal.  

La Révolution a remplacé la monarchie absolue par la Première République, elle marque le début d’une période de grande instabilité institutionnelle en France et en Europe au cours de laquelle se succèdent trois monarchies constitutionnelles, deux éphémères républiques et deux empires, jusqu’à l’avènement définitif de la République en 1870.

Généalogie des Rois de France

Arbre généalogique des Rois de France

1300 ans de monarchie (80 rois)  contre 200 ans de république (25 présidents)

Un HERITAGE CONSIDERABLE que certains veulent occulter, effacer de la mémoire collective, dans quel but ?  pour quelles raisons ? En quoi nos rois ont-ils démérité de l’amour des sujets actuels.

Pas si simple de vouloir nier l’héritage alors que certains présidents fascinés par le prestige et les fastes de la monarchie, se prennent pour Jupiter, ou le Roi Soleil,  et organisent des réceptions au château de Versailles, comme Mitterrand pour le G7, ou dernièrement Macron.

Faut -il rappeler que de multiples résidences royales ou princières abritent encore aujourd’hui nos institutions, musées, mairies  etc…Difficile d’effacer toutes les traces qui ont fait la FRANCE , et qui perdurent aujourd’hui dans la mémoire collective et affective de tout un peuple.

L’idée d’une restauration de la monarchie en FRANCE, paraît inconcevable à l’heure actuelle, mais les esprits changent, la crise actuelle démontre bien  un tournant et une méfiance des français pour leurs institutions et surtout pour la capacité  d’un gouvernement ayant perdu presque toutes ses souverainetés au dépend de l’Europe d’affronter sereinement  l’avenir et surtout d’assurer le devenir de son peuple aux abois avec une FRANCE en pleine décadence.

ALORS COMPARONS SOMMAIREMENT les points des différences flagrantes entre un Président et un Roi

LE  PRESIDENT

  • Elu au suffrage universel
  • Elu par le peuple, par une minorité d’électeurs, il ne représente pas l’ensemble des français, alors qu’il se dit président des français, il n’a pas de légitimité (de plus de plus en plus de français ne votent pas ou votent blanc, ou nul)
  • Le président est l’incarnation même de la DIVISION des français, il tire sa légitimité d’une division électorale.
  • Il est choisi pour son charisme, grâce à une campagne publicitaire, sur un programme qu’il ne tient pas forcément.
  • Le gagnant n’est pas forcément le meilleur, il n’est pas élu pour ses compétences, que nous ne pourrons évaluer qu’en fin de mandat. Il est souvent élu pour sa mémoire, sa connaissance des dossiers.
  • Il fait partie d’un parti politique, et il a donc un intérêt partisan, il œuvre donc pour son parti , pas pour le bien commun.
  • Il a une vision à court terme, car élu pour 5 ans, son but c’est de chercher à se faire réélire c’est-à-dire subventionner ceux qui lui permettront de se représenter (Par exemple , il donne des avantages à la presse pour assurer sa publicité..)
  • Il a une ambition personnelle qui fausse les vrais enjeux, la prise de bonnes résolutions.
  • Le financement de la campagne électorale est tout sauf juste, il n’y a pas d’égalité, ce n’est pas sain, le président va devoir son élection à ses mécènes, généralement de  riches industriels, des banquiers ou des sociétés de presse, qui  attendent un retour sur investissement, et lui demanderont des avantages financiers, fiscaux en compensation. Le président n’est donc pas libre.. .Dès le début de son mandat les dés sont pipés…
  • Le président n’est donc pas celui du peuple mais celui d’une CASTE, d’une ELITE, qui espère bien EN PROFITER.. ce milieu veut coloniser l’état pour mieux le détruire.
  • Il devra son élection surtout à sa campagne de presse, aux médias aux ordres du parti et du pouvoir dominant. D’où encore une campagne disproportionnée entre les candidats, FAUSSEE, ET NON DEMOCRATIQUE.
  • L’élection présidentielle est réservée à une ELITE, RICHE, car les élections coûtent énormément d’argent, et ne sont donc pas accessibles à tout le monde même si vous en avez les compétences.
  • L’argent est le nerf de la guerre et du pouvoir…
  • Les Partis politiques divisent la FRANCE, le clivage droite / gauche est une catastrophe, une aberration, il y a des personnes compétentes dans les 2 camps, au lieu d’œuvrer tous dans le même sens, c’est-à-dire pour la suprématie, la progression de la FRANCE, sa compétitivité, ce sont des luttes incessantes, des critiques permanentes entre les clans, ces luttes sont NEFASTES, NON CONSTRUCTIBLES, ET FATALES pour le devenir de la nation.
  • La division arbitraire est instrumentalisée pour le bien de quelques-uns ou d’un parti
  • L’influence des syndicats, et des lobbies est catastrophiques, c’est toujours l’intérêt d’une minorité, d’une caste au détriment du peuple et de l’intérêt général.

POUVOIR CENTRALISE

  • Pour durer ce pouvoir doit rester CENTRALISE à PARIS.

C’est la DESTRUCTION des initiatives régionales, et locales, qui doivent toujours se référer à Paris, ou toutes les décisions sont prises.

  • Le pouvoir parisien est loin du PEUPLE, c’est une élite sortie des mêmes grandes écoles, ENA, SCIENCE PO… Des gens sans expérience de la vie réelle, qui ne pensent qu’à se remplir les poches.
  • Le pouvoir est entre les mains, d’une classe qui s’octroie tous les postes clefs, tous les pouvoirs, dans tous les ministères : économie, finances, santé, judiciaire… pour leur bien propre et non pour le bien général,  ils savent qu’ils sont éphémères aussi souhaitent- ils en profiter le plus rapidement et le plus intensément possible, car la manne ne va pas durer… c’est valable pour les députés, les sénateurs, les ministres etc…
  • Pour en profiter plus longtemps depuis des décennies, ils ont trouvé le stratagème, faire croire à l’alternance Gauche / Droite, à des rivalités qui n’existent plus… car en coulisse ils se connaissent tous, et trompent le peuple de concert  sur l’existence de rivalités illusoires… Il n’y a aucune différence sauf de façade entre la DROITE et la GAUCHE, les syndicats aussi sont achetés, puisqu’on connait les meneurs on peut négocier facilement la paix sociale, ça ne coute pas cher…

L’IMMOBILISME : permet de DURER – LA DETTE AUSSI

  • Il met un frein aux initiatives, aux changement, à la justice sociale, par exemple pour le calcul des retraites entre les français  ….. C’est l’immobilisme à tous les niveaux, ou le nivellement par le bas…
  • On ne met pas en place des réformes nécessaires par manque de courage, d’autorité. On préfère laisser les inégalités perdurer par crainte des grèves qui paralyseraient l’économie de plus en plus mal en point. Pourtant à cotisation égale on devrait avoir un montant de retraite égale, c’est très loin d’être le cas…
  • Diviser pour mieux régner, abêtir le peuple pour garder le pouvoir, lui supprimer ses libertés fondamentales, le droguer si possible, (fluor, vaccins à l’aluminium, chemtrails…) lui donner une instruction la plus sommaire possible et orientée…
  • Délocaliser les entreprises, pour faire baisser les salaires, asservir le peuple, le détruire à petit feu, l’affaiblir, le ruiner, le dépouiller de ses usines, briser ses espérances, le détacher de son pays d’origine, le faire douter… d’où le désastre actuel à tous les niveaux : Economique, social, fiscal, religieux, intellectuel, culturel…

Au point que les français en arrivent à demander plus d’état, plus de subventions. Manière pour l’état providence de se rallier des électeurs, de  se créer une clientèle grâce à l’argent distribué, payé pourtant par la collectivité..  qui s’appauvrit de plus en plus…

L’Etat crée des pauvres, des êtres soumis, qui mendient des subventions pour vivre, car on leur a enlevé leur travail, pour qu’ils deviennent dépendants d’organismes sociaux étatiques, qui leur enlèvent leur liberté et tout espoir de changement, tout espoir de réussite sociale.

Alors que le peuple demande du travail, et de vivre dignement de son travail, pas la charité…

OU EST L’UNITE DU PAYS – OU EST LA CREATIVITE, L’AUTONOMIE – LA LIBERTE D’ENTREPRENDRE

A LA PLACE NOUS AVONS :  LA SOUMISSION  – LA SERVILITE – LA DEPENDANCE

LA FRANCE EST DIRIGEE PAR UNE OLIGARCHIE. CE N’EST PLUS UNE DEMOCRATIE PUISQUE LE POUVOIR N’EST TENU NI PAR LE PEUPLE, NI POUR LE PEUPLE.

L’ARGENT FAIT LE POUVOIR EN DEMOCRATIE. C’EST DONC UNE PLOUTOCRATIE…

La Devise de la REPUBLIQUE :  LIBERTE – EGALITE – FRATERNITE :  N’EST QU’UN LEURRE

LIBERTE : De plus en plus bafouée,   censure pour les dissidents,  les journalistes de droite,  les écrivains, les humoristes, les hommes politiques aux idées contraires à la pensée et a l’idéologie dominante. Certains écrivains ne pourraient plus ré- éditer leur livre comme Jean Raspail et son « Camp des Saints » il serait poursuivi en justice pour 87 motifs d’inculpation – La Liberté de parler, d’écrire, de circuler à disparu ..

EGALITE : C’est plutôt un nivellement par la base que recherche l’Etat, détruire la classe moyenne pour mieux asservir les individus.  L’idéologie du genre veut une égalité entre hommes et femmes, vous pourrez choisir votre sexe en bafouant l’ordre naturel qui n’existe pas selon la république , tout cela pour détruire la famille, les codes traditionnels de la société…

FRATERNITE : La fraternité ne s’impose pas,  elle reste privée, entre membres d’une famille ou autre, dans un but de bien commun… Bien sûr nous avons la sécurité sociale mais elle a été détournée, elle était censée bénéficier à ses allocataires dans le besoin, de plus en plus nombreux en raison de la politique de délocalisation choisie par l’état, entraînant une augmentation des chômeurs et donc une demande croissante d’entraide, sans compter celle attribuée aux immigrés légaux et surtout illégaux imposés sans aval du peuple, de plus en plus demandeurs eux aussi, d’aides en tout genre exorbitantes  car ceux qui arrivent ont des pathologies lourdes, que n’ont pas les français qui sont  relativement bien soignés grâce à la sécurité sociale instaurée dans le pays grâce aux impôts de plusieurs générations, contrairement aux nouveaux arrivants qui en bénéficient sans contrepartie  etc…

Ecoutons Madame Malika Sorel rappeler notre histoire et les erreurs du gouvernement

« – La France n’est pas un pays d’immigration, celle-ci n’a commencé qu’à partir de 1860, 1870. – Le multiculturalisme est contraire à nos traditions, la preuve en est dans le Code civil que Mme Belloubet, apparemment, ne connaît pas :

« nul ne peut être naturalisé s’il ne justifie de son assimilation à la communauté française ».

La devise de la République française est impossible à appliquer face à des cultures où l’individu n’existe pas et où l’égalité hommes-femmes n’existe pas.

Que faire de la devise de la République française lorsque l’on se trouve en présence de cultures dans lesquelles l’individu n’a pas droit de cité et n’existe pas pour lui-même ? Que faire de l’égalité homme-femme si elle est considérée comme une hérésie ? À la poubelle ? Quid de la fraternité, si elle est subordonnée aux convictions religieuses ? « 

Les individus sont-ils vraiment égaux, libres et fraternels ??

Les privilèges ont-ils été vraiment abolis ??

L’idéologie dominante, la pensée unique ne polluent-elles pas l’avenir de la FRANCE, l’avenir de nos enfants en la programmant dans nos écoles et dès l’âge de 3 ans... ?? 

Proclamer son amour de la FRANCE, de son terroir, de ses coutumes, de ses églises, de ses croix, de ses calvaires, de ses cloches, de ses crèches, de ses monuments,… est blasphématoire, sacrilège, de même que de parler de conserver son identité nationale, être nationaliste est un outrage pour les donneurs de leçons, que nous offrent ils à la place …??

On tue l’histoire, on tue la morale, on tue le beau, on tue le vrai, on tue notre langue si riche, qui n’a rien à envier à la langue anglo-saxonne…EN VERTU DE QUOI – POURQUOI LE PEUPLE FRANÇAIS NE POURRAIT IL PAS SE DEFENDRE,  DEFENDRE LA FRANCE  JUSQU’A CE QUE L’INVERSION SOIT POSSIBLE, SE METTE EN MARCHE.. POUR LES GENERATIONS FUTURES, POUR LE RESPECT QUE NOUS DEVONS A NOS ANCETRES COMME TOUT PEUPLE DIGNE DE CE NOM.   

QUE NOUS A APPORTE LA REVOLUTION

  • La destruction de la religion catholique et de l’Eglise pour en définitive la remplacer par l’islam.
  • La destruction de la société par l’Ecole, par la mise en place de lois athées, de lois anti-famille,  pour pervertir les intelligences, et  ce dès 3 ans formater les enfants dans une idéologie mortifère qui ne mène nulle part, mais permet à quelques-uns de dominer le monde pour leur plus grand profit.
  • La Révolution à l’origine c’était la suppression des privilèges, le progrès, l’affranchissement des opprimés…
  • Le progrès des « Lumières » est une illusion ou l’homme est maître du tout et se prend pour le créateur à la place de Dieu. Dans le seul but de  remplacer l’ordre divin.
  • L’état veut être omniprésent depuis la naissance de la personne jusqu’à son décès, l’individu n’est plus libre, car il est subventionné pour tout , dans son quotidien : allocations familiales, allocations de rentrée scolaire, APL, CMU prime d’activité,  primes voitures, primes pour les travaux dans le logement… On contrôle tout, son alcoolémie, sa vitesse sur les routes, ses achats, ses pensées…
  • Plus il y a de subventions plus il y a d’état et plus il y a de dépenses publiques à payer et de fonctionnaires inutiles…

LA REVOLUTION : 

Que savez vous de l’histoire, la vraie, pas celle qui est enseignée dans vos livres d’école républicaine

« 31 % des guillotinés étaient des ouvriers ou des artisans, 28% des paysans, 20% des marchands ou des spéculateurs, 9% des nobles, 7% d’ecclésiastiques. De même pour ceux qui ont pu y échapper en quittant la France : 51% des 150.000 émigrés de l’époque appartenaient à la bourgeoisie et au peuple, 25% au clergé et 17% à la noblesse ». Et la Grande Terreur, une gentille purge avec, en dix mois de dictature de Robespierre, « 500.000 personnes emprisonnées, 300.000 assignées à résidence et 16.000 guillotinées » ? Tout cela à la suit de la prise de la Bastille, en 1789 où il n’y avait que 7 prisonniers de droit commun .

La grande bénéficiaire de la Révolution fut la bourgeoisie, qui prit le pouvoir et s’enrichit en achetant les biens du clergé et de la noblesse (souvent les mairies actuelles ont été achetées à bas prix ou même confisquées comme biens nationaux… LE PEUPLE NE GAGNA RIEN OU PRESQUE RIEN…

« La guerre, dit-on à l’époque dans les clubs, serait actuellement un bienfait national, et la seule calamité à redouter serait de n’avoir pas la guerre. » « La guerre est un remède nécessaire » (l’Ami du Roi, 15 janvier 1792). « Législateurs, réveillez-vous, foutre, tonne le Père Duchesne; la guerre, foutre, la guerre si vous voulez la paix! » Adieu, rêves de fraternité ! La guerre est votée dans l’enthousiasme : guerre à l’Autriche, c’est-à-dire aux rois. On va libérer les peuples opprimés et détrôner les despotes… On connait la suite.

AVANT 1789 :  LA FINALITE C’EST DIEU

APRES 1789 : LA FINALITE C’EST L’HOMME

14 JUILLET      Tous les français ou presque pensent fêter le 14 juillet 1789, la prise de la BASTILLE.

Il n’en est rien.

Le 14 Juillet 1789 est un symbole républicain, anticlérical, et de gauche,  cher aux républicains non accepté par les Conservateurs , ni par les Catholiques, aussi pour sceller la réconciliation entre tout le monde,  roi, députés et peuple, on choisit de célébrer la FETE de la FEDERATION,  le 14 juillet 1790  un an jour pour jour après la soi-disant prise de la Bastille année : 0.  (Voir la réalité de la prise de la Bastille sur notre site)

Gilbert du Motier, marquis de La Fayette, dit La FAYETTE  Commandant de la Garde NATIONALE en grand uniforme, arrive sur un cheval blanc et monte sur l’estrade. Il prête serment le premier, au nom des gardes nationales fédérées :

 « Nous jurons de rester à jamais fidèles à la nation, à la loi et au roi, de maintenir de tout notre pouvoir la Constitution décrétée par l’Assemblée nationale et acceptée par le roi et de protéger conformément aux lois la sûreté des personnes et des propriétés, la circulation des grains et des subsistances dans l’intérieur du royaume, la prescription des contributions publiques sous quelque forme qu’elle existe, et de demeurer unis à tous les Français par les liens indissolubles de la fraternité. ».

Le roi lui-même est présent à cette fête qui   réunit plus de 100 000 personnes, et Louis XVI prête serment de fidélité aux lois nouvelles :

 « Moi, roi des Français, je jure d’employer le pouvoir qui m’est délégué par la loi constitutionnelle de l’État, à maintenir la Constitution décrétée par l’Assemblée nationale et acceptée par moi et à faire exécuter les lois ».

La Reine montrant le Dauphin déclare :

« Voilà mon fils, il s’unit, ainsi que moi, aux mêmes sentiments ».

La réconciliation ne durera pas.

C’est par la loi du 6 juillet 1880 , que la République décrète officiellement le 14 juillet comme le jour de la Fête nationale annuelle française sur proposition du député Benjamin Raspail, et c’est à cette date que la devise LIBERTE – EGALITE – FRATERNITE apparaîtra sur les frontons des édifices publics.

FETE NATIONALE AVANT 1790

15 AOUT : DEPUIS LOUIS XIII. 

N’ayant pas d’héritier, après 22 ans  de mariage, Louis XIII fait le vœu de consacrer la FRANCE à Notre Dame de l’Assomption par décret du 10 février 1638, et le 5 août 1638 nait le Dauphin Louis Dieudonné, et il instaure des processions annuelles le 15 août en hommage à Notre-Dame de dans tout le pays.

PUIS 15 AOUT sous NAPOLEON.

Napoléon Bonaparte avait institué par décret impérial de 1806, la Saint Napoléon le 15 Août,  date anniversaire de la signature du concordat de 1801 qui avait rétabli la religion catholique en FRANCE et date aussi de son anniversaire de naissance (15.08.1769).

Le 15 août devenant la fête nationale

Napoléon III va confirmer cette fête par décret du 16 février 1852 et ce jusqu’en 1870

Peu à peu cette fête s’est transformée en fête populaire, et revêt une signification militaire et nationale, surtout après les défilés de l’armée française victorieuse le 14 JUILLET 1919.

le 14 juillet c’est la revue de Longchamp — jusqu’en 1914, le défilé militaire se déroule à l’hippodrome de Longchamp

QUE S’EST IL REELLEMENT PASSE LE  14 JUILLET 1789

CETTE REVOLUTION ET PRISE DE LA BASTILLE ETAIT ELLE UN MOUVEMENT SPONTANE ?  NON  L’assassinat de Louis XVI a été décidé en 1785 par la Franc-maçonnerie

Comme tout bon français vous avez appris dans vos manuels scolaires, que la prise de la Bastille qui était imprenable, s’était faite par le Peuple en colère, qui criait « A LA BASTILLE – A LA BASTILLE »

NON LA PRISE DE LA BASTILLE N’A JAMAIS EU LIEU. La porte a été ouverte par ordre du gouverneur de LAUNAY. La décision de la prise de la Bastille a été faite dans la loge des Amis réunis. Le patriote Palluat attendait avec ses ouvriers depuis le matin sur place pour la démolition.

LA REVOLUTION A ETE PROGRAMMEE BIEN LONGTEMPS A L’AVANCE, DANS LES LOGES DES 1785

La mort du roi de Suède et celle de Louis XVI étaient décidées dans une tenue de Francfort, en 1785, comme l’atteste une lettre du cardinal Mathieu, archevêque de Besançon.

« Il y a dans mon pays, écrit le cardinal Mathieu à la date du 7 avril 1875, un détail que je puis vous donner comme certain. Il y eut à Francfort, en 1785, une assemblée de Francs-maçons ou furent convoqués deux hommes considérables de Besançon, qui faisaient partie de la Société, M. de Reymond, inspecteur des postes, et M. Maire de Bouligney, président du Parlement. Dans Cette réunion le meurtre du roi de Suède et celui de Louis XVI furent résolus. MM. de Reymond et de Bouligney revinrent consternés, en se promettant de ne jamais remettre les pieds dans une Loge, et de  garder le secret. Le dernier survivant a dit à M. Bourgon… Vous avez pu en entendre parler ici, car il a laissé une grande réputation de probité, de droiture et de fermeté parmi nous. Je l’ai beaucoup connu, et pendant bien longtemps, car je suis à Besançon depuis quarante-deux ans.  « 

Ce qu’on sait aussi, et avec certitude, c’est que la réunion de Wilhemsbad, en 1782, avait un épilogue dans le genre des révélations désespérées du malheureux M. Leroy.

Le comte de Virieu qui avait fait partie de la délégation française, revenait terrifié du Congrès, il déclarait quitter la secte, et disait au baron de Gilliers :

« Je ne vous révélerai pas ce qui s’est passé ; ce que je puis seulement vous dire, c’est que tout ceci est autrement sérieux que vous ne le pensez. La conspiration qui se trame est si bien ourdie qu’il sera pour ainsi dire impossible à la Monarchie et à l’Eglise d’y échapper. » Et le comte de Virieu n’était pas le seul terrifié par ces assises et qui se retirait alors de la Maçonnerie avec épouvante.

’assassinat de Louis XVI décidé en 1784 – 1785 par la Franc-maçonnerie

La France pittoresque 1

La France pittoresque 2

La guerre des Farines

DEBUT DU DECLIN ET DE LA DECADENCE DE LA FRANCE

La Révolution de 1789 fut, en tout cas, l’indiscutable confirmation et l’amplification de la décadence de la France.

Des destructions épouvantables furent faites au nom d’une idéologie mortifère, préjudiciable  pour le bien commun, reniant son passé, et son histoire.  Un régime tyrannique fut instauré, il existe une longue liste de français morts pour avoir défendu leurs idées et la FRANCE.

Les destructions révolutionnaires

Jean de Viguerie: « Le reniement de la foi, c’est le premier signe de la décadence »

« La décadence vient du reniement, car le pays décadent est celui qui renie les vertus et les principes qui avaient fait sa grandeur et sa force.

Le reniement de la foi a été le premier signe de la décadence…

Causes de la décadence (Jean de Viguerie)

Pourquoi est-on passé de la décadence à la mort ? Il y a trois causes :

La première est la substitution définitive par la patrie révolutionnaire, celle des droits de l’Homme, qui est ouverte sur l’universel selon l’expression de M. Chevènement, et qui n’est qu’un fantôme et une illusion, à la patrie réelle, celle des vertus et du trésor spirituel et moral accumulé au cours des siècles.

La seconde est l’ensemble des lois qui ont détruit la famille et favorisé l’avilissement des mœurs.

La troisième et sans doute la plus importante : je veux parler de la nouvelle « éducation » et du « nouvel enseignement » qui sévissant depuis le début des années soixante, a déjà affaibli les intelligences de deux générations et les a privées à la fois de leur héritage français et de tout savoir digne de ce nom.

Ce peuple a donc perdu, en même temps, et son jugement, et sa mémoire. Il ne vit plus que de ses appétits. Soumis à de telles conditions, un pays ne peut pas vivre indéfiniment. Il est bientôt asphyxié. La France n’est plus qu’un simulacre. On ne peut plus parler de déclin, ni de décadence. Nous sommes devant la mort et la disparition du Pays »

Déclin, déclassement et décadence de la France: points de vue d’historiens

Cette FRANCE telle que nous la chérissons va-t-elle disparaitre ?

La crise est profonde, notre nation est en péril non pas par une guerre extérieure déclarée, mais  par une guerre sournoise orchestrée de l’intérieur même du pays, par ses chefs, sensés la protéger, et avec la complicité et la volonté d’organismes extérieurs qui ont tout intérêt à la voir disparaître, en créant le chaos. Une minorité comme toujours, qui cherche à exploiter le plus grand nombre, des élites apatrides mondialistes, dont le dessein est de détruire notre pays, supprimer nos frontières pour organiser un grand marché planétaire avec une gouvernance mondiale, sans l’avis des intéressés.  Au mépris même des habitants,  qui ne souhaitent qu’une chose, retrouver une FRANCE glorieuse, libre et souveraine.

L’élite dirigeante est en guerre contre son peuple, cela ne s’est jamais vu , c’est en contradiction complète avec le rôle joué par nos rois durant toute l’histoire de FRANCE…

« Il y a deux vérités qu’il ne faut jamais séparer, en ce monde : 1° que la souveraineté réside dans le peuple ; 2° que le peuple ne doit jamais l’exercer. »

RIVAROL (1753-1801), Journal politique national des États généraux et de la Révolution de 1789, publié cette même année

« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. » Constitution du 24 juin 1793, article 35

« La démocratie comporte toujours une forme d’incomplétude, car elle ne se suffit pas à elle-même. Il y a dans le processus démocratique et dans son fonctionnement un absent. Dans la politique française, cet absent est la figure du roi, dont je pense fondamentalement que le peuple français n’a pas voulu la mort. La Terreur a creusé un vide émotionnel, imaginaire, collectif : le roi n’est plus là. On a essayé ensuite de réinvestir ce vide, d’y placer d’autres figures : ce sont les moments napoléonien et gaulliste, notamment. Le reste du temps, la démocratie française ne remplit pas l’espace. On le voit bien avec l’interrogation permanente sur la figure présidentielle, qui vaut depuis le départ du général de Gaulle. Après lui, la normalisation de la figure présidentielle a réinstallé un siège vide au cœur de la vie politique. »

Emmanuel  Macron, président de la Ve république « 

«Une minorité tyrannique s’impose à la majorité du peuple. La démocratie doit revenir à la loi de la majorité et non plus à l’oligarchie bureaucratique, technocratique, judiciaire.  C’est le droit des peuples à la pérennité historique et culturelle, et non pas au nom des droits de l’homme individuel, des cultures étrangères venant s’imposer à la culture millénaire des peuples qui viennent dominer des territoires de plus en plus étendus »  ..Eric Zemmour

UN ROI


UN ROI  A UNE LEGITIMITE INCONTESTABLE, IL DESCEND D’UNE LONGUE LIGNEE DE ROIS  QUI ONT FACONNE LA  FRANCE, ET TRANSMIS A LEURS DESCENDANTS  UN ROYAUME A CONSERVER – A AGRANDIR – A DEFENDRE – A AIMER… ET A PRESERVER

LA PERSONNE

  • Sa Personne est sacrée,
  • Le roi tient surtout son pouvoir de la conquête, le prestige du chef et surtout de la fidélité personnelle qui l’unit à ses sujets
  • Le roi de France est sacré, c’est à dire que le pouvoir du roi est d’origine religieuse et divine.
  • La FRANCE est la fille aînée de l’Eglise, et sa mission est prédestinée.
  • Le roi est très puissant mais il doit obéir aux lois fondamentales du royaume  .
  • Avec le sacre le Roi reçoit l’onction, il est donc sacré, il a le pouvoir de guérir, roi thaumaturge qui peut faire des miracles « le Roi te touche, Dieu te guérit » symboliquement, il protège contre la maladie, la mort, efface les souffrances, le Roi guérisseur est protecteur ; le Roi est un lien entre le monde terrestre et le monde céleste, le Roi est le « lieutenant de Dieu »  

Pour ceux qui doutent A LIRE ABSOLUMENT  : La guérison des écrouelles

  • Le Roi hérite du pouvoir par sa naissance, il n’a pas besoin d’élections, il « EST » par nature Irréfutable, et incontestable.
  • L’hérédité royale  par primogéniture mâle assure l’avenir.
  • Le Roi c’est la tête du pays, il représente le corps social, et l’ensemble des individus vivant sur le territoire. C’est le guide, celui qui montre le chemin, son but n’est pas le pouvoir, l’argent, le matérialisme …
  • C’est une personne qui élève, au lieu de détruire
  • C’est le Père du Peuple
  • Le Roi arbitre Non élu, n’est pas représentatif d’un parti, ni d’un nombre réduit d’électeurs
  • Le Roi est au-dessus des partis politiques
  • Il est Indépendant de tout lobby
  • Le Roi peut être conservateur ou expansionniste pour le bien de son peuple.
  • Le Roi désire conserver sa souveraineté, et non la vendre à l’Europe ou à la mondialisation
  • Le Roi est forcément catholique , mais il n’exclut pas la liberté religieuse.
  • Le Roi a la compétence
  • Il a l’Esprit de décision et de vision à long terme
  • Il a le  Sens du bien commun et du service
  • Il a  la liberté d’agir, il n’est pas lié par une gouvernance européenne qui limite son action
  • Son Rôle est de protéger ses sujets, de les encourager,
  • Il Préserve les valeurs morales, et cherche à les conserver.
  • Le Roi rend la justice, il est là pour défendre son pays, son peuple,
  • Le Roi est ouvert à toutes initiatives, toutes innovations, à la beauté, à l’art , le résultat en est le château de Versailles, ses jardins.. alors que la république ne cherche que des esclaves, bride les initiatives privées, et freine les innovations qui élèvent l’âme pour encourager le laid, l’absurde, l’éphémère, le malsain, l’immoral, l’abject..  on détruit au lieu d’élever…

LA DUREE :  LA MONARCHIE EST HEREDITAIRE

Le Roi va travailler pour le long terme et non pour être réélu, il ne fait pas passer des lois pour faciliter sa réélection, son ambition personnelle, ou pour obtenir des suffrages à tout prix..

La personne royale, et sa descendance garantissent la continuité du royaume, la politique entreprise, l’unité du pays, l’union nationale. Le Roi et son peuple font corps.

UNITE  ET LA JUSTICE

Le Roi incarne l’unité et est la source de la justice. La main de justice lui est remise lors de son sacre et il jure de faire respecter les lois.  

« Cher fils, s’il t’advient de devenir roi, prends garde d’avoir les vertus d’un roi, c’est-à-dire d’être attaché à la justice avec une fidélité dont rien ne te puisse détourner. » ce sont les paroles de Saint Louis à son fils.

Le roi cherche à agrandir son royaume, pas à la réduire, ou à le fondre avec les régions ou pays voisins !

LE PEUPLE :

Contrairement à la propagande républicaine, le peuple n’était ni malheureux, ni maltraité par la Noblesse, la richesse, le commerce, les échanges prospéraient, plus de famines, l’augmentation de la population en témoigne…les ouvriers, artisans étaient protégés par les corporations, qui possédaient chacune leur propre règlement, et leurs coutumes, et c’était un garantie de qualité, de sérieux, de compétence, en plus les membres de ces corporations s’entraidaient entre eux.

C’est la révolution qui a aboli tout cela la loi d’Isaac Le Chapelier du 14.06.1791, interdisant les groupements professionnels, les corporations des métiers, les organisations ouvrières; les rassemblements de paysans et d’ouvriers et le compagnonnage sous prétexte de la liberté et de la mobilité sociale.. On voit ce que cela nous a apporté : l’esclavage de l’ouvrier, bon à travailler et à rapporter au patronat et actionnaire, sans plus d’égard, de moralité, de soins pour sa santé… La révolution sensée lui apporter la liberté, l’égalité, la lui retire et empire sa situation autrefois protégée par les corporations qui assuraient une législation sociale, et une qualité du travail fourni aussi bien pour l’ouvrier que pour le client.. A la place les enfants vont devoir travailler et être réduits en esclavage, à partir de 5ans, pour 15 heures de travail par jour.. et aussi la nuit..


La monarchie sous l’ancien regime les mensonges de la république

EUROPE :

Les rois étaient des européens avant l’heure. Leurs unions avec des Princesses, des Duchesses, des cours étrangères leur permettaient d’agrandir le royaume, de rattacher des provinces, de maintenir des liens amicaux, Autriche – Italie – Ecosse – Pologne –Espagne –  Luxembourg  etc.. et la race Royale de FRANCE a régné non seulement en FRANCE, mais en Lorraine, en  Allemagne, à Parme, à Naples, en Hongrie, en Sicile, au Portugal , au Brésil …..

Des liens étroits de parenté reliaient entre eux les souverains.

La mise en place d’une diplomatie européenne, entre toutes les cours d’Europe : Vienne – Madrid – Berlin etc… n’avait pas attendu la révolution, avec l’avantage majeur et généralisé du français, langue d’échange, dans les cours, les salons, la culture avec ses artistes , ses écrivains, ses poètes ,  ses philosophes… : Molière – Racine – Corneille – Lully – La Fontaine – l’architecture avec Mansart et le Vau ,  Versailles fut le point de mire, copié dans toute l’Europe : à Potsdam – Madrid – Saint Petersbourg… c’était aussi le point de départ de toutes les modes, toutes les nouveautés qui s’expatriaient ensuite.

LA RICHESSE DUE A LA MONARCHIE : nation unifiée – Patrimoine – Culture – ses Ecoles – ses Hôpitaux – ses Académies.. Bibliothèques,  ses Hospices, ses Hôtel-Dieu.

L’EXISTENCE DE LA NATION FRANCAISE EST DUE A LA ROYAUTE – AUX 1000 ans de LA MONARCHIE qui ont apporté une unité, et une stabilité inconnue ailleurs.

La royauté a apporté une richesse, et une reconnaissance dans toute l’Europe, copiée pour son dynamisme, son haut degré de civilisation, la langue française était parlée dans le monde entier, (aujourd’hui on emploie l’anglais ( langue des bas-fonds de Londres) et on renie notre langue et sa richesse par rapport à l’anglais qui prime à cause de nos oligarques qui n’ont pas su la préserver, la faire aimer et sont les partisans serviles des anglo-saxons

Toute la Richesse du patrimoine architectural français est due à la période monarchiste.

Le Roi n’a pas de leçon à recevoir de la république, sa finalité était la justice, le bien être de son peuple, il était d’avant-garde, en matière de connaissances,  d’architecture (constructions de cathédrales, d’abbayes, monastères, de monuments, châteaux, les fortifications de Vauban etc…) des Académies : l’Académie Française fondée par Richelieu en 1635, des Beaux-Arts, en 1648,, des Sciences par Colbert en 1666, L’Académie Royale d’architecture en 1671 – la politique forestière de Colbert et Vauban, écologistes avant l’heure, d’éducation et d’enseignement….

La Monarchie à fait ses preuves, la DEMOCRATIE c’est plus de 200 ans d’instabilité économique, financière, des guerres sans fin,  c’est d’année en année, le rang international  de la FRANCE dans le monde qui décline ; à tous les niveaux : Economie – social – santé – sécurité – financier– éducation- instruction. Le monde a changé dans le mauvais sens : Disparu : la politesse, la courtoisie, le respect de l’autre, les attentions, même l’élégance et la beauté… remplacés par la grossièreté,  la bassesse , la malhonnêteté, la  méchanceté, la corruption, la saleté, le vice à tous les niveaux… on se complaît dans la fange… au lieu de l’excellence, on privilégie la médiocrité, la vulgarité.  Au lieu de la pureté on préfère la souillure…

Quelles consternation et indignation de voir disparaître  les règles de savoir vivre en vigueur depuis le Moyen-âge.

LA FRANCE existe grâce à ses habitants, à l’attachement des gens à leurs coutumes, leurs croyances, leurs racines religieuses, politiques et culturelles.

LA REPUBLIQUE dépouille la FRANCE, pour en faire une société sans passé, sans histoire, sans attache, des déracinés, sans religion…

Par idéologie d’abord, puis par bêtise et par paresse.. ON REJETTE TOUT CE QUI EST FRANÇAIS, CAR PAS A LA MODE ANGLO SAXONNE – POUR LE REMPLACER PAR QUELQUE CHOSE DE PIRE…

La FRANCE est chrétienne que cela vous plaise ou non .

La FRANCE qui était déjà chrétienne, le sera pleinement au Baptême de Clovis à la Noël 496  qui est un des actes fondateurs de notre pays  et le fondement de son histoire.

Le Pape Grégoire IX disait : «   La FRANCE est le royaume de Dieu  et même les ennemis de la FRANCE sont les ennemis du Christ  – Vous direz à vos compatriotes, qu’ils fassent leur trésor des testaments de Saint Rémy, de Charlemagne et de Saint Louis, ces testaments qui se résument dans les mots si souvent répétés sur les ruines d’Orléans ; Vive le Christ qui est roi des Francs ! A ce titre seulement, la FRANCE est
grande parmi les Nations, et cette clause, Dieu la protégera et la fera libre et glorieuse. »

Si vous préservez le patrimoine , si vous reconnaissez la beauté des monuments vous ne pouvez pas niez l’existence de la ROYAUTE,  la richesse de ces ancêtres créateurs, innovateurs, leur grandeur, leur courage, leurs combats pour unifier le pays… 

NE VOUS LAISSEZ PAS BERNER PAR LA PROPAGANDE DE LA PENSEE UNIQUE QUI NE LAISSE LA PLACE A AUCUNE AUTRE. QUI DIABOLISE TOUT INDIVIDU QUI N’ADHERE PAS AU DOGME DOMINANT, QUI NE PERMET AUCUNE CONTESTATION  AUCUN DIALOGUE – AUCUNE ARGUMENTATION RATIONNELLE – LEGITIME – PROUVEE.. QUI PROFITE DU TERRORISME POUR VOUS ENLEVER LE PEU DE LIBERTE QUI VOUS RESTE….

ŒUVREZ POUR RESTAURER LA ROYAUTE,  LIBRE NATURELLE ET ETERNELLE

ET NON POUR UN MONDE SANS FRONTIERE – SANS IDENTITE ,  SANS RACINES.  

VOULEZ-VOUS VRAIMENT DEVENIR CITOYENS D’UN MONDE NOUVEAU SANS AME ? UN MONDE DIRIGE PAR L’EUROPE DE BRUXELLES, QUI DECIDE PLUS DE 80% DES LOIS, SANS VOTRE ACCORD, AVEC NOTRE PERTE  DE SOUVERAINETE, LA VENTE DE NOTRE PATRIMOINE INDUSTRIEL POUR DISSOUDRE LE PAYS DANS UNE DEMOCRATIE UNIVERSELLE.

NE PAS VOULOIR CONSERVER SON IDENTITE NATIONALE NE VEUT PAS DIRE ETRE EGOISTE ET NON EUROPEEN.

NOUS DEVONS LUTTER POUR UNE RESTAURATION DES PRINCIPES MORAUX ANCESTRAUX.  QUI  ONT TOUJOURS ASSURE L’UNITE,  LA STABILITE DU PAYS, SA SURVIE ;

Popularité et coût de la monarchie

Malgré ces différentes affaires, les monarchies restent majoritairement soutenues par les citoyens des pays concernés. Ainsi, en 2016, 86% des Britanniques étaient satisfaits de la reine. En Espagne, en 2017, le roi Felipe bénéficiait d’une popularité de 7,2 points sur 10, selon le journal El Espanñol. En 2013, 70% des Néerlandais étaient en faveur de leur souverain et en Belgique, 69% des interrogés en 2016 déclaraient avoir totalement ou plutôt confiance en leur roi.

Malgré leurs pouvoirs réduits, les monarchies représentent un coût, souvent restreint, pour leur pays. La plus coûteuse par habitant est celle Luxembourg, où le Grand-Duc, en plus de son salaire de plusieurs centaines de milliers d’euros dispose d’un budget de 10 millions chaque année.

Au pays de la maison Orange-Nassau, la monarchie coûte 44 millions chaque année aux Néerlandais. La famille royale danoise a, quant à elle, coûté 41,4 millions d’euros en 2017, soit beaucoup plus qu’en Suède, où la monarchie aura coûté un peu plus de 11 millions d’euros.

La monarchie belge coûtera elle plus de 36 millions d’euros au pays en 2018. Tous les ans, les Britanniques déboursent quant à eux le prix d’un timbre, soit 65 pences par personne, pour que la reine puisse vaquer à ses responsabilités. Au total, en 2016-2017, les dépenses d’argent public de la reine se sont ainsi élevés à 41,9 millions de livres (47,6 millions d’euros).

La couronne d’Espagne est la moins coûteuse. Le Roi Felipe a baissé son salaire de 20% par rapport à celui de son père et touche annuellement un peu plus de 230 000 euros. Le budget de la monarchie est lui resté le même, aux alentours de 8 millions d’euros par an. Cela représentait en 2015 16 centimes d’euro par an et par habitant.

Popularité et coût de la République

La dotation budgétaire 2018 initiale de 103 millions d’euros s’étant révélée insuffisante pour couvrir les dépenses, « un prélèvement sur la réserve d’un montant de 5,67 millions d’euros a dû être effectué pour contribuer à rétablir l’équilibre budgétaire« .

Pour la popularité, je vous laisse y répondre

POUR DIEU – POUR LE ROI –  POUR LA FRANCE – QUI NE VEUT PAS MOURIR – REVEILLEZ VOUS !

En présentant ses vœux aux Français, le 31 décembre 2018 le Président de la République Emmanuel MACRON  a eu cette phrase singulière.

« Le capitalisme ultra libéral et financier, trop souvent guidé par le court terme et l’avidité de quelques-uns, va vers sa fin »

NOUS L’ATTENDONS AVEC IMPATIENCE

Hubert Védrine, homme politique français , membre du Parti socialiste, ayant travaillé avec le président François Mitterand, invité de France Culture le 25 avril 2019 dans son cénacle du développement d’une « sensibilité mondiale » à propos de l’incendie de Notre-Dame de Paris, interrogé sur le réflexe européen de communion ou de l’émotion mondiale suscité par ce drame, répond d’une manière étonnante ce qui suit :

« Ce n’est pas mondial, hormis pour les touristes, c’est la chrétienté en réalité, la chrétienté que l’on croyait disparue, qui est à l’origine de ce mouvement européen, et ce dont on parle c’est exactement ce qui n’est pas sur les billets « euro », et si ça n’y est pas, c’est parce que l’Europe contemporaine était incapable d’assumer ça, parce qu’il s’agissait de racines, y compris les grandes idées des Lumières qui sont la sécularisation des valeurs chrétiennes, comme par exemple celle de l’universalisme, à un point que les gens ont oublié, notamment en France, on le voit à travers un certain nombre de lois, mais malgré cet oubli, il y a une réaction viscérale d’un pays qui se sent encore catholique et qui vit très mal l’injonction mondialiste, qui est imposée comme un politiquement obligatoire depuis quelques années. Ce fond catholique survit dans l’universalisme européen, dont on ne sait pas très bien ce qu’il va devenir étant donné le degré de décomposition des sociétés, mais c’est une réaction viscérale que je trouve impressionnante.»

La chrétienté le fondement même de la France, une réalité indiscutable ancrée au plus profond des entrailles de tous les français.


La royauté est encore bien vivante dans la France du XXIe siècle.

Ci-dessous l’article de Mediapart, bien que n’étant pas de notre bord, force est de constater que quelque soit les différences d’opinions, le constat de la situation de la France est accablant sur la politique menée actuellement dans notre pays.

La seule solution pérenne est bien une MONARCHIE, et non une VIème république, qui ne serait que la continuité de l’oligarchie / ploutocratie actuelle, une minorité de personnes qui maintient les privilèges des riches au mépris du peuple et des urgence économiques et sociales et où l’argent est la base principale du pouvoir.

Des rois capétiens aux présidents bons à rien.

Il y eut dans notre histoire hexagonale de nombreux rois, quelques empereurs dont Charlemagne, quelques révolutions et beaucoup de guerres dont les principales victimes furent à dénombrer parmi le peuple de gueux, d’illettrés et de tous les manants qui furent enrôlés de gré ou de force dans des armées aux ordres des saigneurs. Il y a depuis 1792 et la première république, l’espoir que le peuple puisse enfin décider librement de son destin sans être tributaire d’un monarque. Aujourd’hui, force est de constater que la république a choisi par le suffrage universel un président monarque avec tous les attributs qui vont avec ; un palais, un premier sinistre, un parlement servile, une première dame, une police aux ordres ainsi que la magistrature, des avantages matériels et financiers jusqu’à la mort et comble de l’ironie, un mépris total du peuple qu’il fait gazer, matraquer et gravement blesser sans le moindre remord.

La royauté nous a donné Saint Louis, Louis le Hutin, Louis le Pieux, Louis XIV dit le Roi Soleil, Louis le Prudent. Cela nous fait une sacré liste à la Prévert. Depuis les républiques se sont succédé pour nous offrir là aussi une liste non moins désespérante de président. Citons par exemple les trois derniers ; Louis l’Excité, Louis le Mou et Louis l’Arrogant, tous des fils putatifs de Louis le Florentin qui par deux décisions, tels des édits royaux, favorisa l’entrée du loup capitaliste dans la bergerie républicaine. Il y a d’abord la décision du 24 janvier 1984 qui fit disparaître la distinction entre banques de dépôt, banques d’affaire et banques de crédit ce qui aboutit à privatiser leurs bénéfices mais à contrario à nationaliser leurs pertes comme en 2008 avec la crise des subprimes et la faillite de Lehman Brothers. La deuxième décision concerne la loi de 1986 sur la déréglementation financière qui abolit les restrictions sur les mouvements des capitaux et donc favorisa le nomadisme financier. Ces deux « édits royaux » eurent des conséquences désastreuses sur notre démocratie et la santé financière de nos états.

Avec le mouvement des Gilets Jaunes, nous sommes à la croisée des chemins entre ce que le peuple désire et ce que ces monarques républicains nous imposent. Vous me direz, il n’y a plus de fermiers généraux, ces exploiteurs tant décriés par le peuple des sans-culottes et des paysans. Ils finirent pour la plupart sur l’échafaud ce qui pouvait laisser croire à leur total disparition. Erreur, de nouveaux exploiteurs sortirent de l’ombre, plus puissants et socialement plus destructeurs que les précédents. Ils se nomment GAFAM, ou Big-Pharma et ont pour sœurs toutes les multinationales exerçant aussi bien dans la mode, la finance, les hydrocarbures ou encore dans l’agroalimentaire. Ces nouveaux « maîtres du monde » ambitionnent ni plus ni moins que de faire du business sans contraintes en profitant de la loi de 1986 et de toutes celles qui par la suite leur furent bénéfiques sans qu’aucun président ne s’y opposent farouchement. Cette passivité face aux spéculateurs les rendent au minimum complices par inaction et expliquent grandement pour certains leur échec à se faire réélire.

Les accords opaques comme le CETA ou demain avec le MERCOSUR encouragent des arrangements hyper-lucratifs entre ces ultra-riches ou multinationales au détriment des états qu’ils appauvrissent inexorablement. Ceci permet d’expliquer en grande partie les mouvements sociaux qui depuis trop longtemps ébranlent le monde. En effet, les peuples supportent de moins en moins cette soumission imposée par une très petite minorité. Ce refus de domination n’est que le reflet d’une lutte des classes jamais éteinte entre possédants et exploités. À cette domination inacceptable s’ajoute des préjugés abjects envers les pauvres et les moins fortunés présentés comme des illettrés, des assistés parfois comme des inutiles. Voilà notre monde d’aujourd’hui qui ressemble fort au monde d’hier malgré quelques artifices linguistiques. Il n’y a plus de balayeurs mais des techniciens de surfaces, etc etc etc Pensez-vous que le seigneur du XIV siècles avait plus ou moins d’empathie pour ses serfs que le PDG d’UBER ou d’Amazon pour ses employés ? Posez-vous la question trois secondes… Le moyen-âge a encore des métastases qui perdurent dans notre monde.

Revenons à nos moutons… Pour ratifier le CETA honni par une bonne partie du peuple, Gilets Jaunes et agriculteurs en tête, Jupiter somme le parlement de voter en sa faveur. Et voilà que nos pauvres députés LREM, tel un troupeau de moutons s’exécutent acceptant de renier pour certains leurs anciens engagements. Habitant Auray dans le Morbihan, je n’aurais aucune difficulté à en nommer quelques uns, disons cinq sur six. Comment peuvent-ils donc aujourd’hui se plaindre de voir leur permanence saccagée ? En fait, ils ont vendu leur âme au libre-échange, à la rigueur budgétaire et plus encore à l’austérité qui expliquent grandement la fermeture des services publics. Tout cela se passe en invoquant la sempiternelle compétitivité issue du nouveau monde, mantra du libéralisme à la mode chez Louis-Vuitton dont le CETA est l’archétype.

Tous ces Louis ; l’Excité, le Mou ou l’Arrogant sont issus de la même matrice libérale du « toujours plus pour nous » et « un peu moins pour les autres ». Ils pensent la société en fonction de leur culture, de leur origine sociale et plus encore de leur patrimoine matériel et financier ce qui les éloignent de la France populaire. Devant cette parodie de démocratie, les citoyennes et citoyens ont renoncé à exprimer leur opinions considérant leur vote comme inutile. Les Gilets Jaunes ont pour leur part choisi les rond-point puis la rue. Jupiter a envoyé contre eux ses chiens de garde, signe d’une rupture de confiance entre une partie du peuple et ses dirigeants. Il a d’autre part poursuivi son matraquage médiatique en évoquant son combat contre le nationalisme du RHaine. À force de crier au loup, ce dernier va finir par le croquer comme un vulgaire avorton. Il en sera fini de notre belle république. Marianne n’aura que ces yeux pour pleurer et nos mouchoirs pour la consoler.

Mais fort heureusement, la messe n’est pas encore dite. L’été tire en longueur tandis que les jours raccourcissent. Il pleut, il grêle et Jupiter poursuit ces vacances au frais de la princesse dans le sud de la France. Il a peur peut-être de septembre et des fantômes qui déjà se dressent devant lui. Ces fantômes ne sont ni plus ni moins que ceux du CETA et des réformes programmées contre le peuple pour satisfaire aux nouveaux Fermiers Généraux, ceux qui engrangent des profits et des dividendes tranquillement assis leur cul sur un transat face à la mer bleue des Caraïbes. On vote moins ou pas du tout mais la colère n’est pas éteinte, loin de là. Je souhaite que septembre soit un beau mois, fait d’espérance et de projets. Je souhaite que le Sénat rejette le CETA. Je rêve d’un peuple uni marchant fièrement dans la rue. Je rêve, non de guillotine pour supprimer le mal mais de démocratie pour embellir la vie… Je rêve d’une sixième république qui effacera de ces tablettes tous ces Louis ; le Mou, l’Excité, le Florentin, le Vuiton et surtout le pire d’entre tous, Louis l’Arrogant qui se prenait pour Jupiter alors qu’il n’est qu’un petit salarié de notre république et l’employé de chaque française et français. Il n’est que cela et rien d’autre. Brigitte, quant à elle, devrait envisager un voyage à Varennes, la route est si belle vers l’est de la France entre septembre et octobre. Je suis certain qu’un postier, loin de la ramener à Paris, lui montrera le chemin de l’exil trop content de voir partir avec elle un employé arrogant qui n’a rien compris à notre pays et à sa fonction. Je vois déjà s’inscrire son surnom dans les manuels scolaires, « Louis l’Éborgneur », le dernier président de la V ème république.

Spartacus 2022

https://blogs.mediapart.fr/spartacus-2022/blog/120819/des-rois-capetiens-aux-presidents-bons-rien



Lectures recommandées :

  • la Conjuration anti-chrétienne  de  Monseigneur Henri DELASSUS
  • Le mystère Clovis de Philippe de VILLIERS
  • Le coût de la révolution française de René SEDILLOT
  • La France divisée contre elle-même d’Adrien ABAUZIT
  • Les Capétiens directs Jean-Pierre LUSSAN
  • La superclasse mondiale contre les peuples de Michel GEOFFROY

Lire aussi :  

Sur les mensonges de l’histoire au sujet du Moyen-Âge, des privilèges, des faux clichés : La condition de l’homme au moyen age

La révolution a apporté un grand progrès

La révolution française

Source : wikipedia

Petit cadeau pour ceux qui ont lu l’article jusqu’au bout, vous trouverez ci-après encore un exemple de la dernière offensive de la secte minoritaire qui cherche  à imposer ses lois à la majorité silencieuse.

Avant la religion catholique était une religion d’état, maintenant on cherche à neutraliser, étouffer toutes traditions ancestrales ayant lien avec la religion, à quand la destruction des croix, des calvaires, des cloches, des statues de la Sainte Vierge, ou des anges dans nos rues…, interdiction du port de la soutane de nos prêtres, de la tenue vestimentaire de nos religieuses et religieux,   pour la laïcité et complaire à ceux qui cherchent depuis la Révolution, à détruire la religion catholique sous de faux prétextes et à n’importe quel prix. Quand comprendront-ils que leur haine viscérale ne peut rien contre le dessein de Dieu.

Armée : des députés découvrent les saints patrons et s’offusquent

Valérie Lafont 

L’inculture des jeunes générations devient un gouffre sans fond. Le problème, c’est que cette inculture a depuis quelques années déjà pénétré les allées du pouvoir. Dernier avatar de cette déchéance : des députés de la république ont “découvert” récemment les saints patrons des régiments militaires et les messes qui sanctifient certaines cérémonies.

Le 27 mars, les députés Christophe Lejeune (La République en Marche) et Bastien Lachaud (La France insoumise) ont évoqué leur rapport d’information sur… accrochez-vous… l’évaluation des dispositifs de lutte contre les discriminations au sein des forces armées.

Découvrant que les parachutistes fêtent la Saint-Michel tandis que Sapeurs et Artilleurs se retrouvent autour de la « Sainte-Barbe », que les mécaniciens célèbrent la Saint-Eloi, et que la Saint-Georges est incontournable pour les cavaliers, comme la Saint-Maurice l’est aussi pour les fantassins, les députés se sont étranglés ! Sans parler de la messe qui est proposée à chacun de ces événements !

« Une meilleure séparation entre les activités religieuses et les activités de cohésion doit […] être assurée. Les moyens généraux sont en effet trop souvent utilisés pour envoyer des invitations à des cérémonies catholiques. » a cru bon d’expliquer l’un de ces députés.

Et, en déplorant que « les hommages militaires sont trop souvent rendus à l’occasion de cérémonies religieuses », d’insister : « Il n’est pas rare que le courriel d’invitation à la messe en l’honneur du saint-patron soit envoyé depuis la boîte courriel de l’unité ou depuis celle du commandant » et que « dans les écoles, certaines activités sont organisées de telle sorte que le moment religieux revêt un caractère quasiment incontournable. »

Sur ce point, Bastien Lachaud (LFI) a visé particulièrement les traditions de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr Coëtquidan. « On peut citer aussi la journée de cohésion, organisée au Mont Saint-Michel par les saint-cyriens, et qui donne lieu à un baptême du sabre ou du casoar. Dans une telle journée, dont l’acmé est manifestement cette cérémonie, on peut s’interroger sur la possibilité de s’éclipser pour manifester sa différence.»

La charge du député « insoumis » ne s’est pas arrêtée là. « D’autres pratiques comme la bénédiction de régiments entiers, de bateaux ou d’aéronefs doivent être proscrites. Toutes ces maladresses créent un environnement que les militaires d’autres religions, ou ceux qui ne croient pas, peuvent ressentir comme inhospitalier et excluant ». Une telle méconnaissance de l’Armée fait frémir…

Le général (2S) Pinard Legry, président de l’ASAF, a réagi  :

On ne peut être que consternés que des députés de la commission de la Défense, qui devraient concentrer leurs efforts à étudier comment renforcer  notre Défense et les capacités de nos armées, découvrent et dénoncent la place qu’occupent les saints patrons au sein des armées.

C’est ignorer l’importance que revêt l’esprit de corps au combat et qui est fondé pour une large part sur le culte des valeurs et des traditions.

Supprimez la saint Michel et vous aurez la révolution chez les parachutistes des trois armées…

C’est notamment en tenant de tels propos que la Commission de la Défense et plus généralement les parlementaires, se discréditent non seulement auprès des armées mais également auprès de l’immense majorité des Français qui aiment et font confiance à leur armée.

Message du Duc d’Anjou

Epidémie de Coronavirus –

Le message du Duc d’Anjou en la fête de saint Joseph

 19 mars 2020

Message de Monseigneur le Duc d’Anjou
à propos de l’épidémie du coronavirus
le 19 mars 2020 en la fête de saint Joseph

Un péril difficilement maîtrisable et très violent met la maladie et la mort au coeur de l’actualité en surgissant aux portes de nos sociétés. Dans un monde entier touché par le virus, France, Espagne, Italie et à peu près toute l’Europe sont confrontées à une crise sanitaire d’une ampleur majeure et oubliée sur notre continent…Les victimes sont et seront nombreuses et c’est à elles et à leurs familles que j’exprime d’abord mon soutien et ma sympathie. Je pense aussi aux personnels hospitaliers et médicaux si sollicités comme à toutes les bonnes volontés qui vont se déployer autour des malades et de chacun pour assurer la vie quotidienne, je les en remercie et me joins à la prière des catholiques de France. J’ai aussi une pensée reconnaissante pour tous ceux qui vont avoir à maintenir la sécurité publique dans ces temps difficiles. Demandons à Dieu que tous les malades puissent bénéficier des soins nécessaires à leur état et que les conséquences de toutes sortes qui vont immanquablement peser sur la société, et sans doute pour un temps assez long, puissent, elles aussi, être contenues.

Aujourd’hui il s’agit de faire front avec courage et foi. Un sursaut de la part de tous est nécessaire, il en va du bien commun. Il n’est plus temps d’incriminer les erreurs du passé, il appartient maintenant d’en tirer les leçons et de rectifier ce qui peut l’être. La nécessité de changements nombreux et fondamentaux s’imposera. L’état providence a trouvé ses limites et n’offre qu’une frontière poreuse au virus ; les visions politiques et économiques à court terme ont démontré leurs faiblesses et leur impuissance. Dans l’immédiat, comme dans tous les moments les plus graves de notre histoire, il va s’agir pour les familles d’assumer leur rôle si fondamental dans notre société. C’est à elles et à leur esprit de responsabilité comme à leur détermination que revient la lourde charge de maintenir. Pendant que les personnels soignants feront leur devoir, les familles assureront les tâches de soins, de formation spirituelle et intellectuelle. Pères et mères responsables. Les uns et les autres devront s’adapter à de nouvelles formes de travail qu’il faudra en partie improviser sans oublier de développer de nouvelles formes de liens, entre les générations notamment, alors qu’il faut limiter les contacts. Enfin, pour tous les Français, que l’ampleur de la crise nous ramène vers l’essentiel, le sens des autres et du bien commun, celui de la famille, de la patrie, le sens de Dieu.

Je pense profondément que par l’intercession de Saint Joseph, protecteur des foyers, que les catholiques fêtent aujourd’hui, les familles trouveront la force de résister à l’épreuve que nous traversons en maintenant la Foi et l’Espérance.

Louis de Bourbon,
Duc d’Anjou

Samedi 7 mars 2020

A 14 H 00 Samedi 7 mars 2020 ASSEMBLEE GENERALE PSB

A 14 H 45, Conférence de M. Bruno Savornin

« Le système corporatif sous Salazar, et son équivalence en France »

Message de Louis XX

Message de Monseigneur Louis de Bourbon, Duc d’Anjou

Chef de la Maison de Bourbon

à l’occasion de la messe en mémoire du roi Louis XVI

Dimanche 19 janvier 2020

Chers Amis,

Avant de commencer mon message, permettez-moi de dire quelques mots à la mémoire de M. le duc de Bauffremont qui vient de nous quitter. Durant plus de soixante ans il s’est consacré, corps et âme, à la cause de la royauté légitime. Il a été au côté de mon grand-père, puis de mon père et depuis 1989 auprès de moi, j’ai pu constater combien sa fidélité était à toute épreuve. Il savait braver les tempêtes et assurer la continuité de l’action. La cause de la monarchie lui doit beaucoup à travers tout le travail qu’il a accompli. Je redis à ses enfants et à toute sa famille, combien ma peine a été profonde en apprenant l’élévation au ciel, de celui qui ne pouvait concevoir le service du roi sans celui vis-à-vis de Dieu. Qu’il repose en paix et demeure dans vos prières à vous qui savez aussi être fidèles.

Une nouvelle fois, merci de votre fidélité. Elle trouve sa source dans le souvenir du Roi Martyr et se développe dans l’espérance que vous mettez en l’avenir de notre Pays.

La France, comme en 1793, parait de nos jours bien malade. Depuis des années une crise la ronge en la faisant douter d’elle-même puisque chaque jour on l’appelle au reniement. Il faudrait qu’elle oublie les gloires de son passé, qu’elle oublie la grandeur de son histoire ? Elle se devrait d’être en repentance ? Mais de quelle repentance pourrait-il s’agir ?

Regardons le règne de Louis XVI qui, à lui seul, synthétise tous ceux qui l’ont précédé. Pour la gloire et la grandeur du pays, mises à mal par le Traité de Paris, il a su, mettre un frein à la puissance anglaise, en privant la couronne britannique de ses colonies américaines et en créant le port moderne de Cherbourg ; en matière de « justice sociale » expression qu’il fut le premier à utiliser, Louis XVI prôna la réforme fiscale ; pour tenir compte des évolutions de son temps il reconnut des droits aux Protestants et aux Juifs; dans le domaine scientifique, il encouragea les recherches les plus novatrices de l’aérostation à la machine à vapeur et à l’expédition de La Pérouse; pour améliorer les conditions de vie des « exclus sociaux » du temps il soutint les œuvres en faveur des sourds-muets et des aveugles. Oui son règne a été grand notamment par ses innovations. Il le fut car il était animé par la promesse qu’il avait faite lors de son sacre, celle du décalogue.

Le roi très chrétien, le fils aîné de l’Eglise, avait comme objectif d’assurer le bien commun de ses peuples et le salut des âmes. Voilà en quelques mots, résumé, le programme des Rois. Cela ne vaut-il pas mieux que toutes les explications peu crédibles et tentatives peu convaincantes tant elles sont loin des réalités, de nos gouvernants contemporains

Le testament de Louis XVI, relu après la messe, est empreint de Vérité, Vérité absente du langage politique actuel, ni vrai ni juste. L’ensemble du Testament reflète ainsi cette humilité du Roi qui ne cherche nullement à se justifier devant les hommes, mais s’en remet à Dieu, vrai souverain et vrai juge. Ne pas se tromper de valeur et rester en cohérence avec sa conscience. Ainsi, le premier reproche à adresser à la révolution et à la république naissante, est d’avoir inversé le sens des mots. La Liberté a supprimé les libertés ; la société ancienne reposant sur les solidarités a été peu à peu sacrifiée à tous les égoïsmes et à l’individualisme alors même qu’étaient prônées l’égalité et la fraternité. Deux siècles après Louis XVI, la société n’a jamais été aussi éclatée. Elle est à reconstruire !

 Alors, continuons à honorer la mémoire du Roi-Martyr, et sachons pour l’époque dans  laquelle nous vivons, en retirer toutes les leçons. Sachons, nous aussi, concilier la tradition et le progrès. Sachons donner du sens à nos actions. Comme Louis XVI pensons à nos compatriotes et sachons par ce que nous portons et représentons leur redonner espoir et leur rappeler les principes qui doivent régir la société humaine. Nous ne devons pas être des nostalgiques d’un ordre ancien qui ne reviendra pas, mais, au contraire, nous devons être les artisans d’un monde nouveau qui attend beaucoup de l’exemple de ce que fut la royauté française et ses réussites. Si l’histoire ne se reproduit pas, en revanche, elle peut apporter des recettes. Les deux principales qu’il faut retenir en ce début d’année sont la place centrale reconnue à l’homme de la naissance à ses fins dernières et le sens du Bien commun. Disons non à toutes les manipulations et travestissements de la vie naturelle. Disons non à la société individualiste et à ses excès depuis qu’elle a perdu le sens des autres tout en proclamant le contraire. Disons non au mensonge.

 Cela c’est à chacun de nous qu’il appartient de le faire. Il faut savoir s’engager dans nos vies professionnelles et familiales. La société ne se réformera que si nous savons, les uns et les autres prendre nos responsabilités et, pour les chrétiens, être fidèles aux promesses de notre baptême. N’est-ce pas le symbole du sacrifice de Louis XVI, il faut savoir dire non si nécessaire quand notre conscience nous le demande.

Au-delà de ce message, je souhaite, malgré les nuages amoncelés sur nos têtes, à vous tous, à vos familles, vos proches, une bonne et sainte année 2020 sous la protection de sainte Jeanne d’Arc.

Louis de Bourbon,

Duc d’Anjou